«C’était super à jouer»

C’était une magnifique finale. Comment l’avez-vous vécue ? Henri Lacroix : C’était super à jouer, il y a eu plein de rebondissements. On est super content de s’imposer car on avait échoué l’an dernier. Stéphane Robineau : C’était intense, il fallait bien jouer. Je pense que c’est ce que l’on a fait, mais en face, ils jouaient aussi bien que nous, voire mieux. Dylan Rocher : Ce n’était pas facile mentalement. J’ai repensé à la finale de l’an dernier où l’on s’incline -. Encore avant, on avait perdu en demi-finale. La troisième mène est parfaite et vous gagnez six points. H.L: Oui, c’est important car on perdait -. On a pris les devants grâce à cette mène avant de mener -. Puis on a gaspillé des boules de temps en temps. S.R : On est bien parti avant de gâcher des boules. Les deux équipes ont eu des occasions. Ils avaient deux des meilleurs joueurs du monde dans leurs équipes. Nous, nous avions sûrement le meilleur avec Henri. D.R : C’était bien de prendre les devants, mais après ils sont bien revenus. Il a fallu rester soudé. C’est l’un des rares tournois qui vous manquait ? S.R : Cela nous tenait vraiment à coeur de le gagner. Ici, on porte les couleurs de la PPF, c’est un peu comme si on était chez nous. On voulait le faire pour les organisateurs. Ce tournoi était notre objectif de début de saison. C’est réussi, maintenant on va essayer de faire aussi bien que l’an dernier mais cela va être dur.