Réglementation des hélisurfaces : ce qu’il faut savoir
Les hélisurfaces sont des aires pas forcément aménagées, qui peuvent être utilisées pour l’atterrissage et le décollage des hélicoptères à titre occasionnel uniquement. Elles sont à différencier des aérodromes comme celui de la Môle et de l’hélistation de Grimaud.
ONZE HÉLISURFACES RESPONSABLES Les arrêtés préfectoraux fixent les conditions d’utilisation des hélisurfaces dites « responsables », utilisées à des fins de desserte en transport public. L’arrêté du août fixait ainsi une liste de onze hélisurfaces responsables, et établissait pour chacune le nombre quotidien de mouvements autorisés du samedi précédant le lundi de Pâques au septembre : À Saint-Tropez: le Pilon (), le Pin Maria () et Portimao ( ; cette hélisurface a seulement été testée sur une période de jours en août dernier. On ne sait pas, pour l’heure, si elle sera reconduite cette saison). À Ramatuelle: Château de Pampelonne (), Kon Tiki (), le Pin du Merle (), les Hauts de la Rouillère (). À Gassin: Belieu () et Saint-Elme (). À Cogolin: les Pasquiers () et la Mort du Luc (). L’arrêté limitait également les horaires d’utilisation, du er juillet au août : de h à h et de h à h à Saint-Tropez et Ramatuelle, de h à h à Gassin, et de h à h à Cogolin.
HÉLISURFACES PRIVÉES L’arrêté du avril fixe également les règles d’utilisation des hélisurfaces à usage privé, destinées en principe à l’usage personnel du propriétaire ou de la personne ayant la jouissance du terrain d’assiette de l’hélisurface. Des règles pas toujours respectées, les hélisurfaces étant parfois utilisées à des usages commerciaux. Le nombre de mouvements autorisés par hélisurface est ainsi censé être limité à quatre parjour,dehàhetdehàh,duer juillet au août. Les communes comptaient hélisurfaces privées la saison dernière.