Var-Matin (Grand Toulon)

« Parfois, on se demande pourquoi on s’est lancés... »

- CLAIRE CAMARASA

Ils ont vingt-cinq ans de moyenne d’âge et viennent des Alpes-Maritimes. Paul, Maxime, Adrien, Guillaume et William racontent l’histoire d’Onkaze, le collectif d’organisati­on.

Comment est né Onkaze ? Paul : « L’associatio­n est née en  et a été déposée en . Adrien, Guillaume et moi travaillon­s dans la même société d’événementi­el de luxe. Moi je me charge du son, Guillaume de la lumière et de la gestion générale, Adrien gère la partie logistique. »

Quand le projet a-t-il été monté ? Adrien : « C’est en avril dernier que nous avons eu l’idée de créer Hardkaze. Au départ, on voulait créer un événement sur plusieurs jours mais c’était un projet trop gros pour commencer et ça demandait un budget de  à   euros. Donc nous sommes partis sur un festival d’une soirée. »

Comment organiser un tel événement ? Paul : « C’est un projet multiassoc­iatif. Parfois, on se demande pourquoi on s’est embarqués là-dedans. Et puis on se dit qu’on a la maîtrise nécessaire. C’est juste une question de confiance en soi. » Adrien : « Toutes les communauté­s de la hard musique de France sont derrière nous. Soit ils viennent participer, soit ils partagent l’informatio­n sur les réseaux sociaux et Internet. Nous avons aussi fait plusieurs soirées, dernièreme­nt pour faire la promotion du festival. Et puis il y a aussi de nombreux bénévoles. »

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(Photo Cl. C.) Maxime, Paul, Guillaume et Adrien, la jeune équipe organisatr­ice réunie dans son studio à Plascassie­r (Alpes-Maritimes).

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