Les régionaux ont animé l’étape
km à l’avant vendredi et la même chose hier pour AmaëlMoinard,quia encore réussi à prendre la bonne échappée. Malheureusement, le SaintJeannois a été repris dans le pied du col de La Colmiane. « Avec la météo et le parcours, j’étais super motivé pour refaire une journée à l’avant. C’était un groupe très fort mais aussi avec des mecs placés au général. Donc on ne se faisait aucune illusion. Mais je me suis battu jusqu’au bout car maintenant que j’ai quartier libre dans une équipe d’attaquants, je reprends énormément de plaisir même si le résultat n’est pas là à la fin ». Nicolas Roche a vécu une journée similaire à celle de son copain d’entraînement. L’Irlandais formé sur la Côte d’Azur a été le dernier coureur à pouvoir accompagner Tony Gallopin. « C’était une bonne journée à l’avant, en plus j’avais beaucoup d’amis dans l’échappée. J’avais vraiment envie d’être dans le coup, même si je savais qu’il n’y avait que très peu de chances que ça aille au bout, car les leaders aiment bien gagner les étapes reines. C’était important d’essayer. Je n’avais pas la condition pour me battre derrière ». Après avoir animé quasiment toute la journée, les deux Azuréens ont fini comme ils ont pu à ’’’ (Roche) et ’’’ (Moinard) de Yates. Mais derrière, un autre Azuréen a continué à jouer avec les meilleurs jusqu’à ce que les leaders s’attaquent. Le Roquefortois Mikaël Cherel a finalement pris la e place de l’étape (e Français) à ’’’ de Yates. « Je connaissais bien les routes, c’était à mon avantage parce que les descentes étaient périlleuses. On a fait une jolie course, avec Tony (Gallopin) devant, et Alexis (Vuillermoz, e de l’étape), on s’est bien battu. Personnellement, c’était une dernière montée de minutes, un effort qui me convenait bien, je suis satisfait de ma journée », glissait le coureur d’AGR, qui espère bien jouer les animateurs aujourd’hui. Pour l’Antibois Rudy Molard, la journée d’hier a été bien plus difficile que celle glorieuse de vendredi. La faute à des bronches douloureuses. « J’ai tenté de m’accrocher le plus longtemps possible dans l’ascension. Mais j’ai pris froid et j’avais du mal à respirer. Je savais qu’une montée de minutes était trop longue pour moi, et je ne me voyais de toute façon pas être capable de lutter jusqu’à l’arrivée mais j’ai donné mon maximum ». e de l’étape, Molard recule au e rang au général.