Aperçu de la collection inaugurale
La collection partagée dans les bureaux de Carmignac Gestion à Paris ( oeuvres), célèbre l’art américain des années à avec les oeuvres iconiques d’Andy Warhol, Roy Lichtentstein ou Jean-Michel Basquiat. Édouard Carmignac a rencontré Basquiat en au Factory à New-York. « Ila fait mon portrait de façon impromptue et amicale le soir même, racontait-il au Figaro en . Ce portrait, je ne l’ai retrouvé que plusieurs années après, par hasard. Basquiat a cette faculté de fédérer aussi bien les collectionneurs initiés que le grand public, toutes générations et univers culturels confondus. Son langage est universel et intemporel. Son énergie, sa force vitale, son ironie et sa liberté explosent sur ses toiles. Son âme d’enfant nous touche tous. » Les XX et XXIe siècles sont traversés avec les visions incisives ou plus méditatives de Gerhard Richter, Willem de Kooning, Martial Raysse, Miquel Barcelo ou encore Ed Ruscha. Mais la collection s’ouvre à de nouveaux territoires : Zhang Huan, El Anatsui, etc. et à la jeune scène émergente (Korakrit Arunanondchai, Theaster Gates, etc.) Elle s’est dernièrement ouverte à un art plus classique, à l’image de la Vierge à la grenade de Botticelli. La collection inaugurale de la villa Carmignac puisera parmi ces toiles de maîtres auxquelles il faut ajouter Jeff Koons, mais aussi des artistes « encore sous les radars ». Baptisée Sea of desire, cette collection est dirigée par l’Autrichein Dieter Buchhart, spécialiste de Basquiat et Keith Haring. Elle durera jusqu’au novembre.