Var-Matin (Grand Toulon)

The Starlit sea

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The Starlit sea recèle quatorze chansons, neuf de Tolkien (textes extraits du Seigneurs des anneaux, du Hobbit ainsi qu’un poème), quatre d’André Rocchia et une reprise de King Crimson (I Talk to the wind). Le compositeu­r, également chanteur, harmonicis­te et guitariste, a signé toutes les mélodies. Le projet Lonely Star rassemble de vieux compagnons de route, notamment le Londais Gérard Schmitt et le Hyérois Jean-Claude Spinelli. Des musiciens profession­nels, certains renommés, ont aussi participé à l’aventure comme le batteur André Ceccarelli ou le guitariste Patrice Marzin. Ce dernier sera présent samedi au théâtre Denis aux côtés d’André Rocchia et d’une partie des musiciens du projet (la compositio­n du groupe est à retrouver sur www.tandem.com).

Une couleur musicale très seventies Fans de Tolkien et de musique, ne vous attendez pas à entendre des airs enjoués, folkloriqu­es ou celtiques souvent associés à la fantasy, ses elfes et ses fées. La couleur musicale de The Starlit sea reflète les influences d’André Rocchia, que citent aussi spontanéme­nt ses vieux complices Gérard Schmitt et Jean-Claude Spinelli (présents lors de notre rencontre) : Steely Dan, Crosby, Stills, Nash and Young, les Eagles. Des groupes qui renvoient aux seventies. L’album navigue entre pop rock et folk. Les compositio­ns font une large place à la guitare acoustique ( et  cordes), au piano et aux choeurs. Au fil des morceaux s’invitent harmonica, accordéon, la chaleur cuivrée d’un saxophone et, sur deux titres, une guitare électrique.

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