Var-Matin (Grand Toulon)

Roxanne Iribarren, au nom de la famille

- AN. D.

Iribarren, un nom qui « parle » dans le milieu du handball. Et le lustre du patronyme n’est pas près de s’éteindre car Roxanne a repris le flambeau transmis par son père, Jacques, et entretenu par son cousin Christophe (La Seyne-N3). En effet, la pivot du handball gardéen ne cesse de s’affirmer en ce début de saison. « C’est clairement la joueuse qui a le plus progressé. Physiqueme­nt, elle est de mieux en mieux et cela se ressent sur le parquet », explique l’entraîneur Karine Bonnus. Plus présente dans le jeu et même décisive à Beauvallon avec un pénalty obtenu au buzzer, «Rox» a trouvé ses marques. « C’est une question de confiance. Je me sens mieux au sein du groupe. Il y a un effet boules de neige, car du coup l’équipe me cherche davantage. C’est aussi le credo de notre coach qui nous fait travailler toutes les options offensives à l’entraîneme­nt afin d’impliquer tout le monde », avoue Roxanne.

Sportive accomplie

Une progressio­n logique qui s’inscrit dans la droite lignée d’un parcours sportif exceptionn­el. Car Roxanne Iribarren, malgré son atavisme, a pratiqué le handball sur le tard. En effet, ce « poly-talents» a d’abord été championne de France minime de basket-ball sous les couleurs du HTV au poste de pivot, puis d’haltérophi­lie en UNSS. Une montée en puissance que Roxanne Iribaren aura à coeur de poursuivre ce soir à Plan-de-Cuques pour renforcer la 2e place actuelle, voire mieux si le leader si Ajaccio trébuche.

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(Photo DR) Roxanne Iribarren est sur une phase ascendante.

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