Var-Matin (Grand Toulon)

Paris veut rester dans les clous

- J.-C. B.

Si Giulio Cesare Bregoli est considéré comme un sorcier du côté de Saint-Raphaël, Stijn Morand n’est pas mal non plus dans son genre ! L’entraîneur belge de Paris Saint-Cloud, qui a entamé le mois dernier sa cinquième saison officielle à la tête de la formation des « Mariannes », a réussi un véritable tour de force lors de son arrivée. Morand a en effet qualifié sa formation dans le dernier carré du championna­t de Ligue A en , mais aussi en  . Après deux saisons plus discrètes (  et  ), le patron technique du club parisien a bien l’intention de redorer le blason d’une équipe qui possède d’ailleurs quelques similitude­s avec le collectif raphaëlois. D’abord son budget, parmi les plus modestes de la division. Ensuite un effectif très fortement remodelé, mais reposant sur quelques cadres comme la passeuse Malory Caleyron ou la libero Valérie Courtois.

Salkute, l’arme fatale

Compartime­nt recrutemen­t, Stijn Morand a réalisé l’un des plus gros coups de l’intersaiso­n en s’attachant les services d’une des meilleures attaquante­s de LAF, en la personne de la Lituanienn­e Monika Salkute, transfuge d’Évreux. Une joueuse qui a inscrit  points la semaine dernière contre Quimper. Soit un de moins seulement qu’une autre recrue phare du club, l’attaquante (ou pointue) américaine Taylor Simpson-Cook,  ans, , m. Ajoutez les renforts de la prometteus­e Lara Davidovic, la Belge Els Vandesteen­e ou la centrale internatio­nale Isaline Sager-Weider et vous comprendre­z pourquoi Stijn Morand « rêve toujours d’exploit » !

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(Photo DR) La Lituanienn­e Monika Salkute, une sacrée bonne pioche pour Paris Saint-Cloud.

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