Versent leur contribution
. METTRE EN ADÉQUATION LA FORMATION DE L’ADMINISTRATION AVEC LA RÉALITÉ DES ENTREPRISES Claude Gottlieb, Brandsilver : «La grande majorité de l’administration française ne connaît rien à l’entreprise. Or une entreprise, qu’elle soit dans l’industrie ou les services, a besoin d’informations claires et adaptées face à ses demandes. Elle a besoin d’arguments fiables, de s’appuyer sur des relais à la pointe de l’information et spécialisés. On perd trop de temps dans le dédale
. APPLIQUER À L’ÉTAT LA MÊME RÉVOLUTION MANAGÉRIALE QU’EN ENTREPRISE : PLUS D’HORIZONTALITÉ. Christian Carnimolla, Yachting Crew : « En France, les décisions financières se prennent à Bercy. Aux services fiscaux de se débrouiller pour appliquer. C’est extrêmement descendant. Il faudrait réformer cette façon de faire qui n’incite pas à la bonne compréhension des mesures. » . TROUVER UN CONSENSUS SUR LES COUCHES DU MILLEFEUILLE À SUPPRIMER. Bernard Garnier, Blue Solutions Consulting : « On est tous d’accord sur la nécessité de simplifier le millefeuille, mais y a-t-il consensus sur ce que l’on garde et de quelle manière l’appliquer pour ne plus reculer ? Anne Lechaczynski, la Verrerie de Biot d’apporter une réponse : « La Région est un échelon à garder. C’est celui qui fait référence dans toute l’Europe. Si on veut pouvoir faire des affaires à armes égales avec les États-Unis et La Chine, ça se passe à l’échelle européenne. On a besoin d’institutions harmonisées. »