Meilleurs ennemis
Une question de vocabulaire La responsabilité des médias tient Or, pour conserver la confiance aussi dans la manière de présenter des professionnels de santé et du public, les informations. Ainsi à contenu il a le devoir de diffuser l’information égal, pour ce qui concerne la presse la plus juste possible. » Et écrite, un article aura un poids différent Pascale Primi (Nice-Matin) de rétorquer selon le titre (racoleur ou pas) et : « Nous, journalistes, nous interrogeons la mise en page (en tête de page toujours en interne sur la avec une grosse photo, ou en pied pertinence des articles, sur les titres. sans photo). Mais il y a aussi les termes. Toutefois, nous travaillons dans l’urgence. Le Pr Emmanuel Barranger, directeur Et force est d’admettre que général du Centre Antoine lorsqu’il y a de l’humain, nous pouvons Lacassagne, relève ainsi que « nous parfois être rattrapés par l’empathie. [les médias et le monde de la santé] Pour éviter de nous tromper, de n’avons pas toujours la même définition tomber dans ce piège encore faut-il des termes. On a ainsi pu lire ou qu’il y ait un autre humain en face qui entendre parler d’une épidémie alors réponde à nos questions [référence que cela ne concernait que cas ! Le au silence auquel sont parfois confrontés journaliste recherche un peu la polémique, les journalistes lorsqu’ils veulent l’affaire, le scandale sanitaire… vérifier une information, Ndlr] .»