Mickaël Felber en finale de N’oubliez pas les paroles
Originaire de Solliès-Pont, ce Varois de 34 ans est le 8e gagnant de l’histoire du jeu de France 2. Il participe ce soir à la finale des Maestros où il s’agit de reconnaître les paroles de chansons
Mickaël Felber, Varois originaire de Solliès-Pont, sera ce soir à 21 h 05 sur France 2 pour participer à la finale des Maestros de N’oubliez pas les paroles, le télécrochet cathodique présenté par Nagui. L’émission ayant été enregistrée, peut-être Mickaël fait-il partie du trio qui permettra de verser 100 000 € à la Fondation pour la recherche médicale, après avoir contribué à financer une aide à l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris lors de son précédent passage, le 26 mai dernier ? Peut-être peut-il s’enorgueillir d’être sacré « champion des champions » après avoir déjà été classé 8e plus grand gagnant de l’histoire du jeu ? Ses vingt-six victoires consécutives en juillet 2019 lui avaient fait gagner 213 000 euros. Pour le savoir, il faut regarder l’émission ce soir.
Comment s’est passé votre premier passage au tournoi des Maestros, le 29 mai ?
J’étais en équipe de trois avec Hervé, qui habite en région parisienne, et Tony, originaire de La Rochelle, pour un match en élimination directe. On a réussi à gagner, ce qui nous a qualifiés pour la finale.
Comment se présente la finale de ce soir ?
A contrario des trois matchs précédents, nous allons être en élimination indirecte, sur une seule chanson. Trois équipes seront alignées sur une même chanson (il s’agit de chanter et reconnaître les paroles) et la moins bonne équipe sera éliminée d’entrée de jeu. Les deux autres équipes resteront pour faire le prime , la meilleure des deux sera désignée vainqueur de la finale. Les Maestros regroupent les meilleurs joueurs de l’histoire de N’oubliez pas les paroles.
Outre la participation à titre personnel, il s’agit de faire gagner une belle somme à la Fondation pour la recherche médicale…
Oui, c’est ce qui est le plus stressant d’ailleurs, si on devait échouer. Plus on avance dans le jeu et plus le stress nous gagne ! Forcément, on est tous compétiteurs, on veut bien faire. Outre le fait de jouer pour contribuer à faire avancer la science, j’ai surtout redouté pendant les enregistrements de faire perdre l’équipe en ne reconnaissant pas les paroles d’une chanson.
Y a-t-il des participants que vous avez déjà affrontés ?
Oui, Violaine, la 5e du classement, que j’avais affrontée aux Masters de l’année dernière.
Que redoutez-vous le plus pour la finale ?
La première phase éliminatoire est assez rude. Ce que je redoute le plus, c’est qu’on nous donne à reconnaître des chansons peu connues. La production n’a pas pour habitude de nous tester sur des chansons qu’on a l’habitude de chanter. Ils vont tenter de nous piéger, comme ça a été le cas au fil des épisodes. J’ai eu du mal, par exemple, avec « C’est lundi » de Jesse Garon (1983) ou « J’suis bidon » d’Alain Souchon (1976).
Une anecdote sur Nagui ?
Je dirais qu’il a été très taquin avec moi, surtout lors de l’émission précédente. Il voulait me libérer un peu parce que j’étais en retrait par rapport à mes coéquipiers. Je le prends comme une marque d’affection.