Son best of
La Ferrari Italia GTE. C’est avec elle que j’ai bouclé la boucle en décrochant mon dernier podium au Mans
de la catégorie GTE Pro en , associé à Davide Rigon et James Calado, ndlr).
Les Heures du Mans, forcément. Premier contact en , premier succès en ... et puis une longue histoire jusqu’en . Je garde en mémoire tant de souvenirs, bons et moins bons.
Les Heures de Daytona . Celle-là, elle n’était vraiment pas prévue. D’autant plus que j’avais chopé la varicelle avant le départ. Finalement, avec mes coéquipiers (Karl Wendlinger et Dominique Dupuy) et la Viper Oreca, on dame le pion aux prototypes et on gagne in extremis : seulement secondes d’avance sur une Corvette. Incroyable !
Jan Magnussen. En course, un pilote super rapide, correct. Et hors piste, un mec sincère, clair, avec qui l’on peut se lier d’amitié.
Jan Magnussen aussi ! Chez Corvette, après les trois victoires au Mans enchaînées ensemble (, , ), on nous a séparés. Donc on s’est tiré la bourre. Chouette rivalité interne...
Pour moi, Hugues de Chaunac (Oreca) et Antonello Coletta (responsable du programme Ferrari GT) figurent côte à côte en première ligne. Deux personnages possédant les mêmes valeurs, la même éthique. Exigeant mais ‘‘réglo’’, l’un et l’autre. Quand ils donnent leur parole, on peut s’y fier.
Suzuka.
Le S de la Piscine à Monaco. Mais l’ancienne version. Celui que j’ai connu en F, où l’on plongeait à l’aveuglette en frôlant les rails sans être sûr d’en sortir indemne.