Haut-Karabakh : l’Arménie demande l’aide de la Russie
Les tensions ne faiblissent pas dans le HautKarabakh, toujours en proie à la guerre. Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a demandé, hier, au président Vladimir Poutine d’entamer des consultations sur l’aide que pourrait fournir la Russie pour assurer la sécurité de son pays, en conflit avec l’Azerbaïdjan dans cette région montagneuse du Caucase peuplée d’Arméniens.
Nouvel échec de pourparlers
Cette annonce est intervenue au lendemain de l’échec de nouveaux pourparlers entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan qui visaient à instaurer un cessez-le-feu. « Le Premier ministre arménien a demandé au président russe d’entamer des consultations urgentes dans le but de déterminer la nature et la quantité de l’aide que la Fédération russe peut apporter à l’Arménie pour assurer sa sécurité », a indiqué le ministère des affaires étrangères arménien.
Une base militaire russe déjà présente
En réponse à cette demande, la Russie, qui dispose d’une base militaire en Arménie, a affirmé qu’elle était prête à fournir l’assistance « nécessaire » si les combats s’étendent au territoire arménien, a annoncé samedi le ministère russe des Affaires étrangères.
Un homme souffrant d’obésité morbide et bloqué chez lui à Perpignan (Pyrénées-Orientales) depuis plusieurs mois a porté plainte contre X, estimant que sa vie était en danger s’il n’est pas rapidement évacué, a indiqué, hier, son avocat. L’homme, âgé de ans et pesant plus de kg, selon son avocat Me Jean Codognès, vit dans une maison « frappée d’insalubrité », en plein coeur du quartier populaire Saint-Jacques, dans le centre historique de la cité catalane. Il « est tombé chez lui en juillet et s’est vraisemblablement cassé une jambe », précise-t-il. Me Codognès avait adressé fin octobre une lettre au ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, l’alertant sur « l’urgence d’une intervention ». Début août un accord d’évacuation, qui nécessite la destruction de la façade de l’immeuble pour le sortir de son logement, a été approuvé mais rien ne bouge. « Les pompiers me disent qu’ils n’attendent que les ordres. Mais mon client est sérieusement affaibli, fait état d’une pathologie cardiaque. Il fait état d’escarres, me dit qu’il saigne. C’est une situation très compliquée sur le plan sanitaire », s’indigne son avocat.