Château de La Martinette : pêle-mêle d’architecture et de paysage
« Notre richesse ne se situe pas seulement dans nos vignes et notre savoir-faire, mais aussi dans notre paysage atypique », souligne Clémentine Riveron, responsable communication au Château de la Martinette. Le domaine lorguais est d’ailleurs connu pour cela. « Le point culminant de nos terres se situe à 180 mètres d’altitude. Chaque plateau a son ADN et produit une végétation bien spécifique. C’est une chance. » Et c’est exactement cela que la jeune femme souhaite mettre en lumière à travers les Trophées de l’oenotourisme. « Ainsi que notre magnifique architecture », ajoute Guillaume Harant, gérant et directeur d’exploitation au domaine. En effet, un nouveau chai vient d’être créé. « Rustique pour qu’il s’intègre au paysage, mais aussi moderne pour coller au côté luxueux du vin. C’est une belle propriété » ,explique-t-il.
Mais qui se situe à distance des grands axes de circulation. « L’idée est que, grâce à l’oenotourisme et donc à nos activités parallèles à la production, on puisse attirer du monde sur nos terres », indique Guillaume Harant. Le principe est donc de faire profiter des espaces naturels et atypiques. «Laviedans les vignes », se réjouit Clémentine Riveron.
Participer à l’essor de l’oenotourisme
Cette « année-pause », forcée par la Covid, a permis au Château de « revoir ses techniques commerciales, l’interface et aussi de penser à l’après-Covid », raconte le gérant. Et si, en sortant de cette crise, le domaine reçoit un Trophée de l’oenotourisme, « c’est que notre implication dans ce domaine et notre participation à son essor sont enfin reconnues », conclut-il.
◗ 4005, chemin de La Martinette, Lorgues.