Var-Matin (La Seyne / Sanary)

EQUIPE DE FRANCE EN STAGE À NICE JUSQU’À JEUDI « Nice est mon club de coeur... »

Vice-président de la Fédération française depuis décembre, Serge Simon a profité de la venue des Bleus pour retrouver la Côte d’Azur cette semaine. Une terre qui lui a fait aimer l’ovalie

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AfaitNice, Serge Simon ne pas figure d’illustre inconnu. L’ancien pilier du Stade Français et de Bègles s’est pris d’amour pour le ballon ovale au Racing Rugby Club de Nice. Il a grandi dans le sillage des Herrero, Tordo, Buchet et Orso. Des joueurs de légende qui l’ont poussé à écrire sa propre histoire. Aujourd’hui vice-président de la FFR et manager des équipes de France, l’ex-Rapetou béglais accompagne les Bleus à Nice. Vendredi, il a pointé le bout du nez à l’hôpital Lenval avec huit joueurs venus rendre visite aux enfants hospitalis­és. L’occasion d’évoquer le XV de France et le Stade Niçois.

Serge, on vous imagine heureux de voir les Bleus, chez vous, à Nice…

Oui. Cette venue est le fruit du hasard. Quand il a fallu organiser ce stage en plein Tournoi, le cahier des charges du staff parlait de soleil et de bonnes installati­ons sportives. Plusieurs dossiers ont été envoyés à la Fédération : Corse, Montpellie­r, Aixen-Provence, LanguedocR­oussillon ou Lyon. Pour le staff, les installati­ons

PROGRAMME Demain 10h-11h Entraîneme­nt aux Arboras (huis clos). Jeudi Annonce de l’équipe qui affrontera l’Irlande. 16h Départ pour Dublin sportives étaient la chose la plus importante et c’est Nice qui a le mieux rempli le cahier des charges.

Vous êtes vice-président de la FFR, où en est votre travail auprès de Laporte?

Mon travail avec Bernard est très important pour continuer de faire avancer le rugby. Tous les deux, on forme un duo depuis  ans. On a traversé beaucoup de choses et puis la vie nous avait séparés. Nous avions repris chacun nos routes. L’un des premiers leviers de notre aventure commune à la Fédération, c’est le fait de nous retrouver à nouveau. C’est un grand plaisir. C’est le gâteau mais pas la cerise. La cerise, c’est la possibilit­é de réformer le rugby français. Il en a grand besoin. Avec Bernard, on a un fonctionne­ment comme sur le terrain, bien qu’il soit un peu différent parce que les objectifs ne sont pas les mêmes.

Justement, l’une de vos missions sera de rapprocher les pros du monde amateur…

fantasme et ça sert le rugby pro. Les deux mondes se sont séparés à un moment et la Fédération, qui est responsabl­e du tout, doit essayer de les rapprocher. La richesse, oui, mais à

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