Le film de la semaine
Laurent Xu Durée : h Genre : drame Notre avis :
L’histoire De toutes mes forces
De Chad Chenouga (France) Avec Khaled Alouach, Yolande Moreau, Nassim (Khaled Alouach) est en première dans un grand lycée parisien et semble aussi insouciant que ses copains. Personne ne se doute qu’en réalité, il vient d’un Genre : thriller Notre avis :
L’histoire
Alors qu’il rentre retrouver sa famille, un homme (Ha Jung-woo) est enseveli au volant de sa voiture dans l’éboulement d’un tunnel. Pendant qu’une opération de sauvetage d’envergure nationale se met en place pour le tirer de là, scrutée et commentée en direct par les médias, les politiques et les citoyens, l’homme joue sa survie avec les maigres moyens à sa disposition: un mobile, une lampe de poche et un gâteau d’anniversaire. Combien de temps lui et sa batterie de téléphone tiendront-ils ?
Notre avis
S’éloignant le plus possible des schémas traditionnels du film catastrophe hollywoodien, le Coréen Kim Seong-hun (auteur du remarqué Hard Day en 2015) signe
Genre: Drame (Belgique) Notre avis:
L’histoire
À bord d’un petit rafiot, Homer (Oliver Gourmet) et Joé (Sergi Lopez), la cinquantaine, remontent un fleuve vers des chutes d’eau en Croatie. Jusqu’au décès, récent, de leur père, ils ignoraient l’existence l’un de l’autre. Pourtant, ils sont demi-frères. Sur le chemin, ils croisent Sean (John Lynch), un baroudeur irlandais énigmatique et menteur.
Notre avis En amont du fleuve
De Marion Hänsel. Avec Olivier Gourmet, Sergi López, John Lynch Durée: h Il était légitime d’attendre beaucoup de la rencontre entre Olivier Gourmet et Sergi Lopez. C’est dire la déception ressentie devant la proposition de Marion Hänsel. Un simple road-movie en île croate, platement filmé malgré la beauté de son décor naturel. La confrontation n’a pas lieu et les discussions menées en bateau ou autour d’un feu de camp manquent cruellement de mystère. Trop en surface, surligné à outrance, En amont du fleuve échoue aussi dans son traitement du deuil, ultraacadémique et se montre d’une maladresse extrême lorsqu’au détour d’une conversation, il évoque l’IRA et les guerres de Yougoslavie comme pour justifier le propos et essayer de masquer la pauvreté de l’ensemble. le deuxième succès de l’année dans son pays (après Last train to Busan), avec ce survival claustrophobique qui aurait toutefois gagné à être un peu plus resserré. Malgré de réelles qualités de réalisation et une juste balance entre suspens, humour, critique sociale et émotion, on trouve, en effet, le temps un peu long dans la voiture à bord de laquelle le héros se retrouve enseveli dès les premières minutes du film.