Nice:« :Nice l’Américaine»
L’année marque le centenaire de l’entrée en guerre des États-Unis, aux côtés de la France et de ses alliés. Cette exposition, programmée dans le cadre des commémorations de la Première Guerre Mondiale, montre l’impact de la présence américaine à Nice, de (voyage de Jefferson) à la veille de la Deuxième Guerre Mondiale sur le tourisme sur les loisirs, les arts, les oeuvres de bienfaisance. Il est à noter que, c’est après le vote par le Congrès américain de la déclaration de guerre à l’Allemagne, le avril , que Nice a tout naturellement rebaptisée son célèbre quai du Midi en «quai des États-Unis». À partir de là, la Ville accueille en nombre les soldats américains permissionnaires en -, à l’instar d’un certain Harry Truman, futur président des États-Unis. Associant le Service des Archives Nice Côte d’Azur, le Service du Patrimoine historique et la Cinémathèque de Nice, cette exposition a reçu le label National de la Mission du Centenaire de la Première Guerre Mondiale et le label de la Commission américaine du Centenaire (WWICC), par une commission présidée par l’historien Antoine Prost. ◗ Jusqu’au 28 septembre 2017, Du lundi au vendredi 8h30 - 18h, Service des Archives Nice Côte d’Azur - Palais de Marbre,7/9,avenuedeFabron.Entrée libre.Renseignements :0493867744
Petite histoire de l’île et de l’abbaye de Lérins
Honorat est l’évêque d’Arles. Il fonde un monastère au début du Ve siècle sur l’île de Lérins, connue par les Romains sous le nom de Lerina. Elle est inhabitée et infestée de serpents. La Petite histoire de l’île et de l’abbaye de Lérins permet d’aller bien plus loin dans cette aventure. Ce n’est ni un livre d’érudition, ni de science. En fait, recomposé, l’ouvrage reprend le texte intégral d’une première édition de , soit l’histoire de l’île de Lérins, de ses bâtiments et des événements qui l’ont marquée au fil des siècles, la fondation de la cité romaine de Lerina puis du monastère Saint-Honorat, les raids génois, sarrasins et espagnols, la Renaissance de l’abbaye au XIXe siècle, etc. ◗ EDR, éditions des Régionalismes, 198 pages. 18,5 euros.