Les cérémonies du -Novembre
Cette commémoration de l’armistice du novembre a été largement suivie par les Seynois et leurs édiles, au cours des différents hommages rendus hier matin devant le rond-point du Novembre, la stèle de la gare de La Seyne et la porte des chantiers navals, avant le défilé et la rencontre autour du monument aux morts. Après la remise de la Légion d’honneur par l’Amiral Jacques Méheut à Georges Jauffret, les élèves du collège Wallon et les lauréates du concours national de la Résistance ont lu des textes et des poèmes en hommage aux jeunes Poilus morts pour la France. Michel Maréchal, président du comité de coordination des associations d’anciens combattants, et Christian Pichard, adjoint au maire, ont donné lecture des messages officiels. Les instances régionales et départementales représentées par leurs élus ont succédé aux dépôts de gerbe effectués par la députée Émilie Gueirel et le maire de La Seyne, Marc Vuillemot. Participant à ces émouvantes cérémonies, les drapeaux des anciens combattants, le détachement de la PMM, la clique de l’USS et la philharmonique La Seynoise ont accompagné ce anniversaire avec de très nombreux Seynois. (J. D.) Le “cessez-le-feu” du novembre a mis fin à quatre années de guerre. ans après, une foule d’adultes et d’enfants est venue rendre hommage, hier matin, aux dix millions de morts, aux six millions de mutilés, aux veuves françaises et aux orphelins. Moment d’émotion décuplé lorsque deux étudiantes six-fournaises, Jade et Clothilde, ont lu deux poèmes tirés de l’ouvrage “Paroles de Poilus”, de JeanPierre Gueno. «...Je rêve de doigts légers, adroits et blancs qui, sur mes yeux, se poseraient frais et tremblants. Sinon des doigts de mère, au moins des doigts de femme chassant la vision des souvenirs sanglants.» Des gerbes ont ensuite été déposées et « la mémoire de cette jeunesse sacrifiée sur l’autel de la guerre et de la folie des hommes » a été saluée par le maire Jean-Sébastien Vialatte. (P. B.) Alain Trillat, président des médaillés militaires, dépose une gerbe avec l’une des élèves venus en nombre. Saint-Mandrier a rendu hommage, hier, aux soldats morts au combat entre et , par le biais d’une messe et d’un rassemblement devant le monument aux morts où quelques échanges de courriers de guerre ont été lus par des collégiens. Puis des gerbes ont été déposées par les autorités civiles, politiques et militaires, avant que La Marseillaise soit entonnée par les jeunes écoliers de primaire. Le cortège s’est ensuite rendu quai d’Honneur où des fleurs ont été jetées à la mer, puis c’est à la nécropole du cimetière national que s’est achevée la cérémonie, dans un moment de recueillement. (Ly. F.) Les manifestations marquant l’armistice du -Novembre se sont déroulées hier matin devant le monument aux morts. Après le dépôt de gerbes par le maire Philippe Barthélemy et les représentants des associations d’anciens combattants, les noms des Saint-Cyriens “morts pour la France” durant les guerres de /, / et d’Algérie ont été cités. Au même moment, des enfants déposaient chacun une rose en souvenir de ces victimes. Venaient ensuite les prises de parole des différents responsables du monde combattant ainsi que du premier magistrat avant que le Progrès musical, renforcé par l’école municipale de musique, n’interprète “La Madelon”, “Sambre et Meuse” puis “La Marseillaise” suivie d’une minute de silence consacrée au souvenir des disparus. (M. L.)
C’est avec gravité que la population s’est recueillie hier matin au pied du monument aux morts où figurent les noms des Beaussétans morts en /. Un cérémonial poignant rehaussé par la prestation de l’Avenir musical, en présence des corps constitués (gendarmerie, police, pompiers), d’un piquet d’honneur de la F et d’un groupe de Var / en tenue d’époque. Dans l’assistance, le maire Georges Ferrero entouré d’élus et de nombreuses autres personnalités. Appel des noms des morts de , dépôt de gerbes avec les familles de deux des disparus de (Barry et Roubin), ravivage de la flamme, sonnerie aux morts, minute de silence, lecture du message et de poèmes par des collégiens et Marseillaise reprise en choeur par les écoliers de Malraux ont émaillé ce cérémonial de haute tenue qui a trouvé son épilogue autour d’un cocktail. (J. L.) Pour commémorer l’armistice du novembre , la ville d’Ollioules organisait, hier, une cérémonie aux monuments de la place Lemoyne. Elle était placée sous la présidence de Robert Bénéventi, maire de la ville. Plusieurs gerbes ont été déposées, la première par le maire et le colonel Duval, commandant du GTM. La deuxième par le conseil municipal des jeunes, la troisième par les représentants du Comité d’entente, et la quatrième par Miss Ollioules au nom du Comité des fêtes. Enfin, la flamme a été ravivée par le maire accompagné de M. Decimo et du colonel Duval. Le moment fort de cette cérémonie a été la lecture de textes par les enfants des écoles de la ville. (A. B.) Dans le cadre des commémorations du novembre , la ville de Sanary organisait hier matin une cérémonie au monument de la Victoire. Placée sous la présidence de Ferdinand Bernhard, cette cérémonie était dirigée par Jean-Jacques Poiret. Une gerbe à été déposée pour le comité d’entente par M. Arsuffi et M. Frénot de l’Ufac. Puis le maire et les autorités présentes, accompagnés des enfants des écoles, ont déposé des fleurs sur le monument. Avant de repartir, les enfants ont reçu un exemplaire du livre “Lulu et la grande guerre”, dans le cadre du devoir de mémoire. (A. B.) Les Bandolais ont rendu hommage à leurs Poilus, hier devant le monument aux morts, au cours d’une cérémonie présidée par le maire Jean-Paul Joseph, en présence des membres du conseil municipal, du commandant du BCR Var et du groupe de transit maritime, et des représentants des associations patriotiques. Les élèves du collège Raimu ont lu en préambule un texte de Marius Cayol, un Poilu bandolais. Puis après le dépôt des gerbes par Laetitia Quilici, vice-présidente du conseil départemental, le président des anciens combattants Marius Bongiorno, le président de la Fnaca Albert Beissier, et le premier magistrat, une délégation embarquait sur la vedette de la SNSM pour un jet de fleurs à la mer en mémoire de tous ceux qui périrent en mer. (L.) La commémoration de l’armistice a eu lieu hier, en même temps que la fête votive de la Saint-Martin, patron du village. Organisée à l’issue de la messe, la cérémonie, précédée par un dépôt de fleurs devant les monuments de Sainte-Anne et du Broussan par les anciens combattants, a eu lieu en toute ferveur sous la présidence du maire Blandine Monier entourée de ses adjoints, des porte-drapeaux, des délégués du monde combattant, dont le président Alain Demarlier, de Michel Mazzoni, commandant des sapeurs-pompiers du Beausset, et du père Cerisier, curé de la paroisse, auxquels s’était jointe l’habituelle assistance d’anonymes. La cérémonie a été marquée par la lecture du message ministériel par le maire, d’un dépôt de gerbes, de la sonnerie aux morts, d’une minute de silence et de La Marseillaise reprise en choeur. (M.B.L.) La cérémonie présidée hier matin par le maire René Jourdan a rassemblé, devant le monument aux morts, les membres du conseil municipal, une délégation de sapeurs-pompiers, de gendarmes et du CCFF, mais aussi de l’escolo, tandis que la Lyre vigneronne faisait retentir les sonneries réglementaires. Présents aussi, des élèves de l’école élémentaire et leurs enseignants qui ont lu, à cette occasion, des extraits de cahiers tenus par les Poilus dans leurs tranchées. Après le dépôt d’une gerbe par le maire et les enfants, le cortège s’est rendu au cimetière communal pour se recueillir devant la colonne brisée, symbole d’une jeunesse décimée. (L.)
La cérémonie du novembre, présidée hier par le maire Jean Michel, a été empreinte de solennité. Après avoir déposé la gerbe au monument aux morts, le premier magistrat a lu un discours patriotique rappelant le courage des nombreux soldats morts pour la France, évoquant aussi le rôle de Georges Clémenceau. Une minute de silence suivie d’une impressionnante Marseillaise jouée par les musiciens signois a clos cette cérémonie où les Signois ont été surpris par l’absence des sapeurs-pompiers. (L.M.)