Var : un renfort de plus de   euros pour les bénéficiaires du RSA

Un peu plus de   euros. C’est le montant de l’avenant signé hier entre la Préfecture et le Département, faisant passer, pour l’année , l’appui de l’État aux politiques d’insertion de la collectivité locale de quelque   à près de   euros. Des sommes qui s’inscrivent dans le cadre du Fonds d’appui aux politiques d’insertion. Créé par la loi de finances , ce fonds vient compléter le budget des conseils départementaux souhaitant aller au-delà de leurs obligations en matière d’accompagnement des personnes touchant le RSA. Concrètement, ces fameux   euros serviront à payer, à partir de , la scolarité de jeunes de moins de  ans bénéficiaires du RSA au sein de l’école de la deuxième chance du Var. Entre quinze et vingt jeunes devraient être concernés. D’après les services du conseil départemental, le reste de la somme allouée par l’État est utilisé par le Département, toujours en faveur des bénéficiaires du RSA, pour « multiplier le nombre de plateformes d’information », « proposer un accompagnement adapté » ou encore « coordonner les actions sur l’ensemble du département ». Ces quelques   euros « viennent s’ajouter aux  millions annuels que consacre le Département à l’aide à l’insertion, et doivent être reconduits en  et  », poursuit le Département. En septembre , un peu plus de   foyers varois étaient bénéficiaires du RSA.