Var-Matin (La Seyne / Sanary)

« Il faut croire en ses rêves : je veux être champion du monde!»

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Entre deux séances de roulage sur le circuit balayé par un mistral glaçant, Enzo De La Vega peaufine ses réglages et répond à quelques questions.

Comment naît une telle pour le sport moto ?

Tout simplement de la famille ! Mon papa, Philippe, et mon frère, Randy, courent depuis longtemps déjà. Je m’y suis mis très jeune. Soutenu, moi aussi, par ma maman, Barbara.

À quoi vous servent ces séances d’entraîneme­nt sur le circuit du Luc ?

C’est très important de pouvoir rouler souvent. Pour les réglages de la moto, bien entendu, pour moi également. Je peux ainsi travailler ma conduite et, surtout, chercher à optimiser mes réflexes.

Vous parvenez à vous entraîner régulièrem­ent ?

Je travaille, mais j’essaie de m’entraîner au moins une fois par mois avec la moto. Je vais de temps en temps passer une semaine complète de travail en Espagne.

Et physiqueme­nt, c’est contraigna­nt?

Je dois travailler en permanence ma condition physique. Je pratique beaucoup de course à pied et de vélo. Et je m’astreins à une hygiène de vie stricte.

Pour finir : un objectif, une ambition ?

On dit qu’il faut croire en ses rêves? Alors, je veux être champion du monde !

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Enzo De La Vega peaufine ses réglages sur le circuit lucois.

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