DIVISION FÉMININE (TOULON/SAINT-CYR) Siraba Dembélé de retour!
L’ailière gauche, passée par Toulon/Saint-Cyr entre 2009 et 2012, portera à nouveau le maillot du TSCV la saison prochaine. Une première recrue de poids pour Sandor Rac
Se souvenir des belles choses, et avoir l’image de Siraba Dembélé s’imposer dans sa mémoire. Quand on se remémore la « grande » période de Toulon/Saint-Cyr, entre 2009 et 2012 (un titre de champion de France, deux coupes de France...), l’ailière gauche est l’une des premières personnes qui vient à l’esprit. Mais elle sera bientôt plus qu’un simple souvenir pour les supporters toulonnais. Car Siraba Dembélé sera de nouveau toulonnaise dès juillet 2018. Et pour trois ans.
Siraba, qu’est-ce qui vous a poussé à revenir à Toulon/Saint-Cyr ?
J’ai gardé de très bons souvenirs de mon passage à Toulon. J’ai bien aimé cette période, ce club, les gens qui y travaillent. Et la région, aussi ! Toulon/Saint-Cyr reste une équipe solide de LFH. Quand je fais le choix de revenir en France, Toulon/Saint-Cyr était ma priorité, même si plusieurs clubs de LFH m’ont
approchée.
Vous avez ans. En signant pour trois ans, cela signifie-t-il que vous terminerez votre carrière dans le Var ?
Oui, je ne vais pas jouer jusqu’à ans ! Je vais profiter de ces trois années pour travailler à ma reconversion. J’aimerais enchaîner après le handball sur un travail dans le prêt-à-porter, mais rien n’est arrêté pour le moment.
Connaissant votre caractère, vous ne venez pas en préretraite...
Certainement pas ! Même si je pense à l’aprèscarrière, je viens pour jouer. Je reste une compétitrice. J’ai toujours de la motivation. Et je ne viens pas à Toulon pour me la couler douce. Surtout que les présidentes (Jeanne-Marie de Torres et Perrine Paul) souhaitent repartir sur une nouvelle dynamique de victoire. Ça me convient bien.
La pression à Toulon/ Saint-Cyr sera sans doute différente de Rostov (Russie), votre club actuel...
C’est sûr qu’à Rostov, dès qu’on perd un match, il faut trouver des coupables et virer tout le monde ! Ici, ce n’est pas pareil. Mais l’envie de gagner les matches est la même. Et moi, je suis toujours la même.