DSP au port des Embiez : les offres sont en cours
Lors du conseil municipal qui s’est réuni lundi après-midi à l’hôtel de ville (Var-matin d’hier), les élus ont également adopté les délibérations suivantes :
« Créer une rue parallèle à République »
La commune fait l’acquisition, pour 370 000 euros, de plusieurs petits lots immobiliers rue Pasteur, situés dans un emplacement réservé par la commune pour l’aménagement futur d’une voie à dix mètres de large. «C’est un terrain, au bout de la rue Edith-Piaf, qui permettrait d’ouvrir jusqu’au parking de l’école Condorcet, le but étant de créer une rue parallèle à République ; un projet que je poursuis depuis des années. Mais c’est long et compliqué… », a indiqué le maire.
Gestion du port des Embiez
Dans l’attente de la conclusion de la délégation de service public (DSP) lancée par la Ville pour l’exploitation du port de plaisance des Embiez (actuellement assurée par la société Paul Ricard), le conseil municipal a prolongé l’autorisation d’occupation temporaire (AOT) du domaine public maritime de l’actuel délégataire jusqu’au 30 septembre 2018. «La première phase de la DSP est en cours, on commence à recevoir des offres », précise Jean-Sébastien Vialatte.
Tarifs des ports de La Coudoulière et Méditerranée
Les élus ont validé une hausse de 3 % en 2018 sur les tarifs des redevances passagers, des taxes de levage, des forfaits carénage, des redevances professionnelles, des emplacements et lignes de mouillage des jet-skis, ainsi que ceux de l’occupation du domaine portuaire, concernant les terrasses couvertes et l’espace réservé aux racks divers.
Soutien aux militaires en “opex”
Comme chaque fin d’année, la commune accorde une subvention à la Fédération nationale des anciens des missions extérieures, qui vient en aide aux militaires déployés sur les théâtres d’opération. La Ville avait prévu d’attribuer 1500 euros pour l’envoi de soixante colis. Mais comme chaque année, Frédéric Boccaletti a demandé à doubler le nombre le chiffre. “Ok”, a dit le maire, avant de se raviser après intervention d’un collaborateur. « Alors si on ne peut pas doubler, on peut passer à cent colis», a promis Jean-Sébastien Vialatte.