Harcèlement sexuel : le monde de la danse, touché à son tour
L’onde de choc provoquée par les révélations sur le producteur américain de cinéma Harvey Weinstein touche de plus en plus de milieux. Cette fois, c’est le monde de la danse qui est concerné, et en particulier les deux grandes compagnies de New York, l’American Ballet Theatre (ABT) et le New York City Ballet (NYCB). Jeudi, l’ABT a annoncé que le Brésilien Marcelo Gomes, 38 ans, membre de la compagnie depuis 1997 et promu danseur étoile en 2002, avait démissionné à la suite d’une accusation de « conduite inappropriée de nature sexuelle », commise huit ans auparavant. « L’ABT a immédiatement pris des mesures et lancé une enquête interne indépendante, explique un communiqué de la compagnie. L’ABT ne cautionne pas ce genre de conduite. » L’affaire, précise le texte, ne concerne aucun autre membre de la compagnie, et les faits ne se sont pas produits dans le cadre du travail du danseur. La porte-parole de M. Gomes, Lisa Linden, a affirmé dans un communiqué qu’il se sentait « reconnaissant et rassuré par le soutien de sa famille et de ses amis », et qu’il n’avait « aucun commentaire à faire ». Krach pur et dur ? Ou correction passagère d’une monnaie virtuelle erratique ? Le bitcoin dégringolait, hier, presque aussi brutalement qu’il a flambé ces dernières semaines, sans que les experts de la finance ne sachent vraiment l’expliquer. La plus célèbre des cryptomonnaies cotait ce vendredi vers h autour de dollars, selon les données compilées par l’agence Bloomberg, alors que lundi elle semblait encore toute proche de toucher les dollars. Le bitcoin, qui n’en finissait plus de flamber après avoir commencé autour de dollars, a perdu environ un quart de sa valeur en une semaine.