ON MONTE À LA VOLÉE Et si on se prenait pour Federer

Sans défrayer la chronique, Tennis World Tour vient combler un vide sur les courts remontant à 2011. Champions, tournois, presque tous les ingrédients sont de la partie

Sevrés de simulation de tennis depuis 2011, soit quasiment la nuit des temps, quand un FIFA ou un PES sort chaque année avec son lot d’améliorations de dingue, les amateurs de la petite balle jaune vont pouvoir remonter à la volée sur leurs consoles. Un éditeur a en effet décidé de sortir tête baissée des vestiaires, en l’occurrence Bigben Interactive. L’entreprise française connue pour ses titres osés de Handball 16 et 17 ainsi que Rugby 18 relève donc un nouveau challenge (de taille) avec Tennis World Tour, dans les bacs en mai prochain.

La parité en a pris un coup

Première surprise dans le ventre de la bête, choix a été fait de ne proposer aucun tournoi sous licence, les remplaçant au final par 18 courts sur différentes surfaces, inspirés de tournois réels, notamment de Grands Chelems. Deuxième surprise du chef, Nadal, Murray et Djokovic ne figurent pas à l’affiche du titre. Mais rassurez-vous : de grands noms seront à incarner, parmi eux les Federer, Dimitrov, Zverev, Thiem, Goffin, Wawrinka, Pouille, Kyrgios, Isner... En revanche, côté féminin, on crie un peu famine avec la présence de seulement cinq joueuses. La parité en a pris un coup... Si l’intégration des matches en double se fera après la sortie du jeu par le biais d’un patch gratuit, le titre proposera dès sa sortie du jeu en ligne, avec des modes classés ou non, également du local et des modes spécifiques allant d’une série de