Sur le vif
Manu Boutet (entraîneur des trois-quarts varois) : « C’est frustrant de n’avoir que onze points d’avance au vu de notre domination. On laisse trop de points en route. Mais notre indiscipline en fin de match les remet dans la rencontre. On a vu aussi en deuxième mi-temps que cette équipe de Trélissac est dure à manoeuvrer. Mais à partir du moment où on a su les déplacer, on s’est créé des opportunités. Dommage de ne pas avoir concrétisé un peu plus. »
Sylvain André (entraîneur des trois-quartsdeTrélissac):«Ona connu une première mi-temps compliquée. J’ai dit aux joueurs que c’était un miracle qu’il n’y ait pas trente points d’écart en leur faveur. On s’est focalisé sur Saulekaleka, qu’on a plutôt bien maîtrisé, mais c’est Ramoka qui nous fait mal. Il nous reste néanmoins une chance sur le retour. Onze points ce n’est pas insurmontable. »
ce qui change forcément beaucoup de choses. Mais son arme fatale fidjienne Ramoka va encore perforer la défense visiteuse pour la troisième fois de l’après-midi (30-16). Cet essai est malheureusement entaché d’une échauffourée dans l’en-but qui oblige l’arbitre à exclure Falconetti et Lajugie. Trélissac bénéficie même d’une pénalité sur le renvoi que ce diable Kralfa convertit des cinquante mètres, laissant La Seyne avec onze unités d’avance avant d’aborder le match retour dimanche prochain.