Girl power
Oscar Wilde a dit : « Bien entendu, l’Amérique avait été découverte avant Colomb, mais le secret avait été bien gardé.» C’est la saison des récompenses. Prix de la vocation internationale chez les Conseillers du commerce extérieur, de la création d’entreprise pour les Rotariens, du meilleur projet chez les directeurs financiers et contrôleurs de gestion, du chef d’entreprise, du digital, de l’innovation sociale, du dirigeant, de l’international pour les Femmes de l’économie,... Depuis quinze jours, les cérémonies et les Trophées s’enchaînent et qui les remportent? Des femmes! Pour les Femmes de l’Économie, vous me direz qu’il y a une certaine logique, mais vous remarquerez que pour cette célébration, ce n’est pas une mais sept catégories que les organisateurs ont jugé bon de créer pour couvrir le spectre de compétence des lauréates. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, de compétences, en s’offrant même le luxe de les mettre au pluriel car entre Céline Molière la tatouée, Julie Meunier la fringante et Delphine Resegotti la rationnelle, quel autre point commun que la volonté, la pugnacité, la force de conviction, cet amour du travail abouti, cet engagement total à défendre la marque, les équipes, le savoir-faire, le projet collectif, cette vision humaine qu’elles ont de l’entreprise et de son avenir. Zut, plus de place. Et encore tellement à dire. Ne lâchez rien.