Respecter des exigences environnementales
Qui dit loi littoral, zone encadrée dans l’espace Grand site, dit contrôle renforcé. Les services de la Direction régionale de l’environnement et aménagement du territoire (DREAL) ont imposé au maître d’oeuvre des conditions drastiques pour l’aménagement de la promenade du front de mer. Interrogé par des personnes présentes dans le public sur l’impact environnemental, les responsables – MM. Giran, le maire et Guillermin, architecte paysagiste – ont insisté sur les impératifs auxquels ce dossier a dû se soumettre, dont des études approfondies en matière d’impacts.
Avis très favorable
Comme le souligne Vincent Guillermin, « il a fallu prendre toutes les précautions et respecter les exigences de la DREAL ». Prise de parole du maire : « Elle a d’ailleurs émis un avis très favorable au projet ». Parmi les critères figurent notamment « les enjeux paysagers, ceux liés au développement durable et aux déplacements (véhicules et transports en commun, modes doux comme les piétons et les cycles), ainsi que les services balnéaires ». L’accent est d’ailleurs mis sur une végétalisation, l’installation de ganivelles pour protéger les plages. « Nous éloignons les voitures du bord de mer en déplaçant la voie vers l’intérieur. Seule la promenade est le plus près de la mer (hormis au niveau des deux établissements Le Marais et Le Petit bain qui seront contournés) ».