Tolisso pressenti
Didier Deschamps n’a toujours pas tranché en ce qui concerne son onze qui débutera contre l’Uruguay. Corentin Tolisso semble être le favori pour remplacer Blaise Matuidi, mais il se pourrait que le sélectionneur réserve une petite surprise. Outre Thomas Lemar, Nabil Fekir serait une piste envisagée par le staff tricolore. Par sa capacité à faire des différences dans les petits espaces, le Du côté d’Istra, il est devenu très périlleux de tenter de « craquer » un huis-clos, afin de connaître l’équipe qu’alignera Didier Deschamps. Deux de nos confrères en ont fait la désagréable expérience, alors qu’ils pensaient avoir débusqué la planque parfaite pour observer les mises en place effectuées par le sélectionneur qui ne goûte que très peu à la méthode. Fou de rage après que ses compositions aient été dévoilées deux jours avant les matchs contre l’Australie et le Pérou, DD a rassemblé ses hommes et lancé la traque aux médias dans cette zone désaffectée, en étroite collaboration avec les autorités russes, pas vraiment réputées pour leur goût du dialogue. Mardi, Gleboskiy est en état de siège. Le G20 ? Non, les « méchants » reporters français sont dans le coin. Policiers, Côté uruguayen, Cavani est très incertain. Hier, il est resté aux soins pour soigner son mollet. Lors de la séance, c’est de nouveau Cristhian Stuani ( ans, Gérone) qui était aligné au côté de Luis Suarez dans l’équipe des titulaires attendus. vigiles et même membres du FSB, successeur du KGB, rodent en quête de la proie. Un travail méticuleux qui va finir payer, puisque deux des suiveurs de l’équipe de France sont repérés sur un balcon, jumelles sur le nez. Nos collègues se baissent, mais c’est trop tard. Alors qu’ils partagent le thé chez l’habitant, ils entendent taper à la porte. C’est la police ! La femme qui les accueille frôle le malaise. Débute une longue négociation avec des agents peu enclins à faire des concessions, qui leur réclament une caméra longue portée qu’ils n’ont pas et leurs jumelles... Ils craignent pour leur accréditation, doivent décliner leur identité, prennent quelques coups de pression. On leur ordonne de quitter les lieux, ce qu’ils font sans broncher, et rentrent finalement, à l’hôtel libres. Encore heureux...