Var-Matin (La Seyne / Sanary)

Sa passion : la photograph­ie

- L. M. L. J. L.

Virginie CommunalOr­tis est photograph­e aussi bien en studio qu’en reportage photos en extérieur.

Cette jeune femme de 42 ans a été touchée par la photograph­ie depuis son plus jeune âge. Elle a suivi la passion de ses parents. Elle a continué tout au fil du temps et des événements à prendre en photo ses réunions familiales et amicales. Par ses différents métiers dont celui de graphiste, elle a été amenée tout doucement à travailler de son violon d’Ingres.

Elle a eu un déclic

Elle a décidé de se mettre à son compte car elle aime ce métier lui permettant des rencontres enrichissa­ntes qu’elle peut faire. Elle effectue les reportages de mariage, baptême, écoles, gala de danse, associatio­ns, terroir, vintage. Virginie a également travaillé pour des cosmétique­s dont tout dernièreme­nt la Roche Posay. Elle oeuvre également En plus de son métier de photograph­e, Virginie fait également partie de l’associatio­n Funk cancer Olivi ». Elle lui permet de rencontrer des femmes touchées par cette terrible maladie lors d’ateliers où elles peuvent, à travers ses reportages et photos, reprendre confiance en elles après une séance. Ces malades peuvent discuter de leurs problèmes, et après un atelier féminin apprendre à se mettre en valeur à travers le maquillage et toutes les astuces leur permettant de renaître et surtout arriver à s’accepter. Elles repartent avec une énergie explosée tout en décidant de ne pas se laisser abattre et à prendre soin d’elles.

avec l’associatio­n SYA, avec laquelle elle est toujours en contact, auprès des enfants hospitalis­és. Elle pratique le shooting photos en studio pour les enfants, couples, vie familiale et réunions amicales. Cette femme vivante, nature, aimant le contact avec les personnes vous satisfera dans ses reportages ou photos individuel­les que vous garderez en précieux souvenir. Contact : www.vircomphot­ographie.com Mail : Contact@vircomphot­ographie.com - Tél : 06.77.76.16.35

Depuis hier matin, la braderie organisée par l’associatio­n des commerçant­s bandolais « Bandol plus », présidée par Emmanuel Escriva, bat son Grâce aux péripéties loufoques du film et en dépit de coupures intempesti­ves au début, cette seconde séance a connu le vif succès escompté.

Initiée par le service municipal des animations et festivités, la seconde séance gratuite de cinéma en plein air a eu lieu jeudi soir au Jardin des Goubelets en présence d’une foule compacte de spectateur­s de tous âges et toutes conditions au sein de laquelle la conseillèr­e municipale Rachida Amar. Plus une place de libre sur les gradins! Au programme ce soir-là, le film américain Tous plein. Il s’agit pour les plus rapides de profiter de la première heure gratuite des parkings et pour les autres de flâner sans modération sur le port à la recherche

en scène, long métrage d’animations réalisé en images de synthèse, écrit et mis en scène par Garth Jennings avec les voix off, notamment, de Patrick Bruel, Jennifer Bartoli et Elodie Martinet.

Une faute de frappe...

La trame : le koala Buster Moon est propriétai­re d’un théâtre au bord de la faillite. Car en vérité, ses spectacles de la bonne affaire. Et elles sont nombreuses. Toutefois, ceux qui espéraient que ces soldes puissent s’appliquer aussi aux vins de Bandol ont été déçus, sachant – ou ne

n’ont jamais attiré grand monde et le bâtiment menace de s’écrouler. Pour lui redonner du lustre et surtout renflouer ses caisses, Buster décide d’organiser un concours de chant. Seulement voilà... Une faute de frappe d’une secrétaire et la récompense annoncée passe de 1 000 à 100 000 dollars, ce qui déclenche la ruée d’une foule d’animaux-chanteurs désireux de tenter leur sachant pas – que contrairem­ent aux objets à la mode, plus un vin vieillit, plus son prix s’envole.

Grande braderie d’été, de 10 h à 19 h. chance. Un quiproquo inattendu dont on vous laisse imaginer la suite... Bref ! un dessin animé plein d’humour, d’émotion et de fantaisie, peuplé de personnage­s cocasses et truculents, qui voit les situations extravagan­tes se succéder à un rythme fou, fou, fou. Seule ombre au tableau, les quelques problèmes techniques ayant retardé la projection.

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Depuis hier, les visiteurs se précipiten­t sur les bonnes affaires.
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(Photo L. M.)
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