AU FIL DU CONSEIL
Une nouvelle conseillère
Suite au décès de la conseillère municipale Christiane Gaudin en juillet dernier, à l’âge de ans (nos précédentes éditions), Aline Massot, infirmière de profession, lui succède et reprend à sa charge les délégations de la solidarité et des aînés.
Valérie Bouron prend du galon
Valérie Bouron est conseillère municipale de la majorité en charge des affaires scolaires, de l’éducation, de la restauration scolaire, de l’enseignement artistique, du jumelage, de la police municipale et de la prévention de la délinquance (ouf !). Suite au retrait de délégation de Laurent Fréani, et un vote lors de cette séance, elle prend désormais la place de e adjoint. Mme Bouron s’est déclarée « honorée par la confiance qui [lui] est accordée », avant d’avoir une « tendre pensée pour [sa] famille, qui s’organise au quotidien pour [lui] permettre d’exercer ma fonction d’élue sereinement » et dire combien elle est « fière de faire partie d’une équipe qui met toute son énergie et ses compétences pour répondre aux attentes des Bandolais. » La situation a inspiré un commentaire à Philippe Rocheteau : « J’aimerais souligner un point qui fait du conseil de Bandol une exception : à une époque où le droit des femmes est un sujet d’actualité, nous avons la chance d’avoir cinq adjointes et trois adjoints. On montre l’exemple à travers ce genre de vote. » Et le maire d’ironiser : « Ceci dit, il ne faudrait pas que ça devienne une habitude ! »
Bonne nouvelle pour les kiosques à sandwiches des allées Vivien
Elodie Aymes, e adjointe en charge des affaires juridiques de la commune, était heureuse d’annoncer une bonne nouvelle pour l’avenir des restaurateurs des allées Vivien, alors même que peu de Bandolais savaient qu’il était incertain. Explication : «Les conventions d’occupation des exploitants de ces kiosques venaient à expiration au novembre . Et une ordonnance de nous oblige de recourir à un appel à concurrence, c’est-à-dire que les exploitants actuels risquaient de ne pas être retenus. » Il fallait faire quelque chose pour ces commerçants présents depuis de nombreuses années et... «la solution la plus bénéfique que nous ayons trouvée est le déclassement du domaine public routier. » Une pirouette juridique qui va permettre, à l’issue de cette procédure de déclassement qui a été votée à l’unanimité, de « passer avec ces exploitants des baux commerciaux et ainsi valoriser la propriété commerciale, a dit l’élue. Et, pour la ville, d’avoir un droit de regard du fait des obligations contractuelles réciproques, sur le fonctionnement de chacun des kiosques.»