Facebook : millions de comptes piratés
Quelque cinquante millions de comptes Facebook ont été piratés en raison d’une faille de sécurité, a révélé, hier, le réseau social, à l’image et aux finances déjà sérieusement ébranlées par plusieurs controverses, en particulier autour la protection des données personnelles. « La faille a été réparée hier [lire jeudi, ndlr] soir», a indiqué vendredi le patron de Facebook Mark Zuckerberg, qui a personnellement participé à une conférence téléphonique avec des journalistes pour faire le point sur la situation. « Nous ne savons pas si ces comptes ont été utilisés de façon malveillante », a-t-il expliqué, ajoutant que les investigations étaient en cours. « C’est un problème très sérieux », arépété à de nombreuses reprises le jeune P.-D.G., qui avait été critiqué vertement plusieurs fois ces derniers mois pour avoir tardé à réagir lors de crises précédentes. Selon Facebook, « presque 50 millions de comptes ont été affectés directement », c’est-à-dire que les pirates ont pu accéder à leurs informations figurant sur leurs profils (noms, genre, ville...), grâce au piratage de la fonctionnalité « Voir en tant que », permettant de regarder son propre profil comme si on était un autre utilisateur. Emmanuel Macron est arrivé, hier, en Guadeloupe, au deuxième jour de sa tournée dans les Antilles, pour évoquer les problèmes d’alimentation en eau, et la problématique des algues sargasses qui prolifèrent sur les rivages. Le chef de l’Etat, qui arrivait tout juste de la Martinique balayée par une tempête et secouée par un tremblement de terre sans faire de dégâts importants, est venu des Guadeloupéens. En l’occurrence,
et les sargasses. Une grande majorité des Guadeloupéens n’ont pas d’eau tous les jours à cause d’un défaut d’entretien des canalisations – le réseau perd % de son rendement avant que l’eau n’arrive au robinet.
« évoquer les préoccupations du quotidien » « la problématique de
l’eau »
« Je veux que dans notre pays sur tous les territoires l’accès à l’eau courante de qualité soit une réalité », « aujourd’hui ça n’est pas le cas ». « doit accepter que quand l’eau est de qualité courante, elle doit à nouveau être payée », « gaspillage »
président, constatant qu’ La population
a-t-il notamment souligné, incriminant le et les nombreux S’agissant des algues brunes aux émanations toxiques, dites sargasses, [...]
il a assuré que
a plaidé le
« impayés ».
« redevenues une problématique extrêmement forte pour la santé publique », « l’engagement du ramassage dans les quarante-huit heures sera tenu ».