La réalité augmentée au service du médical
Lorsque l’on pense aux casques de réalité virtuelle, on associe souvent ces bijoux de technologie au monde des jeux vidéo. Mais cette technologie s’est répandue dans bien des domaines dont la médecine. Ainsi, au centre hospitalier Montperrin, on utilise cette pratique pour soigner les phobies. Quatorze plus précisément, comme l’agoraphobie, la claustrophobie ou encore l’arachnophobie. Grâce au casque, le patient peut être immergé dans un contexte rappelant son aversion. Les avantages par rapport à une mise en situation réelle sont que le patient peut tout arrêter s’il ne sent pas bien et que le médecin peut aller crescendo dans la mise en situation. La procédure se fait en dix séances. Quatre sont d’abord collectives pour apprendre à gérer le stress. Ici, c’est l’acrophobie (peur du vide) qui est soignée.
Puis six séances sont individuelles pour un plongeon dans la réalité virtuelle. Un arachnophobe se verra par exemple en contact avec
des araignées dans différentes situations que le médecin contrôle via un logiciel. Cette pratique semble porter ses fruits puisque 80 % des phobies arrivent à être guéries. L’utilisation de ce procédé se répand un peu partout en France.
Théâtre
Mercredi novembre, à h , à la salle des fêtes, Poilus Show par la Cie La Naïve, un spectacle labellisé centenaire -, conciliant humour et émotions tout en restituant les faits marquants de cette guerre. A partir de ans. Tarifs : de à €. Rés. .....