euros de budget
De ses mots, Benjamin Emeriaud qualifie « d’amateur » son documentaire. Et pour cause, il ne représente que euros de budget. Des fonds principalement utilisés pour acheter« deux caméras Go Pro pour le tournage et un ordinateur assez performant pour le montage », détaille le réalisateur. La raison de ce si petit budget ? « Quand je me suis lancé dans le projet, je n’ai bénéficié d’aucune aide type subvention. Et je n’ai pas pensé à la solution du financement participatif. Il a fallu faire avec les moyens du bord », confie Benjamin Emeriaud.
ont été réalisées au Lavandou, à Port Cros et Porquerolles. J’ai aussi utilisé quelques extraits des années précédentes. On a de très belles scènes, où l’on peut voir des espèces animales qu’on ne retrouve presque plus en Méditerranée comme le poisson-perroquet. Nous étions tous heureux d’en observer. Sans compter les espèces qui ont migré ici.
Que vous a apporté ce documentaire ?
L’envie de faire un autre, ce que l’on m’a déjà demandé. Notamment pour expliquer ce que deviennent les jeunes apnéistes par la suite, ce que leur a apporté ce sport dans la vie. J’ai commencé à contacter des anciens élèves que j’avais en pour faire quelque chose comme « dix ans après leur passage dans la section sportive ». Ca me plairait, mais d’abord on se retrouve pour la présentation du janvier. Où les gens verront une version spéciale d’Immersion pour Le Lavandou. « Immersion », diffusion à l’espace culturel le vendredi 4 janvier à 18 heures, suivie d’un échange avec le réalisateur. Entrée libre.