JOURNÉE, ST-AMAND - TOULON/ST-CYR) Combattantes demandées

Battues dans tous les compartiments du jeu mardi soir face à Nantes (20-34) et notamment dans l’agressivité, les Toulonnaises devront réagir ce soir à Saint-Amand

Le calendrier sans queue ni tête de la LFH – capable d’offrir une trêve de 17 jours avant de proposer un enchaînement de cinq rencontres en autant de temps – a l’avantage de permettre aux Toulonnaises de ne pas s’arrêter trop longtemps sur leur triste prestation de mardi soir face à Nantes (20-34). Un non-match – « tout le monde est passé à côté, c’est quand même rare de voir ça », n’en revient toujours pas Sandor Rac – que les ReBelles pourront oublier en cas de succès ce soir à Saint-Amand (20 heures).

Dembélé incertaine

Sur le parquet de la lanterne rouge (une seule victoire en seize matches), outre la victoire, le staff toulonnais attendra une réaction de la bande à Catani. Notamment dans l’agressivité et le respect du plan de jeu. « Nous nous sommes beaucoup Réaction attendue de la part de Zazai et des Toulonnaises ce soir à Saint-Amand.

parlé après Nantes, avoue Sandor Rac. On peut manquer une rencontre, mais derrière, j’attends une réponse. »

Se frotter au plus mauvais élève de la classe pourrait donc sembler le meilleur remède pour oublier la gifle

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journée nantaise. C’est oublier néanmoins que les Nordistes, même souvent battues, explosent rarement en vol. « Elles savent qu’elles joueront les play-downs et ont moins à perdre que nous, explique le coach. Malgré quelques Ce soir à  h LES-EAUX erreurs de jeunesse, c’est une équipe capable de s’accrocher si on lui laisse la place. » Seule solution, se préparer à un gros combat. Même en l’absence probable de Dembélé (ischios) et avec une Eradze diminuée (cheville). Mais qu’importe la douleur. Elle s’effacera plus facilement en cas de victoire.

Camille Depuiset à Bourg-de-Péage

En fin de contrat à l’issue de la saison, la gardienne Camille Depuiset - en manque de temps de jeu dans le Var - a choisi de s’engager pour deux ans avec Bourg-de-Péage.

(Photo Patrick Blanchard)