La Corée du Nord a reconstruit un site de lancement de fusées
La Corée du Nord a terminé la reconstruction du site de lancement de fusées qu'elle avait commencé à démanteler, selon des experts américains, au risque d'un regain de tension avec les EtatsUnis après l'échec du sommet entre Donald Trump et Kim Jong Un. S'appuyant sur de nouvelles images prises mercredi par satellite, deux cercles de réflexion de Washington, le Center for Strategic and International Studies (CSIS) et 38 North, ont affirmé hier que le site de Sohae (ou Tongchang-ri) était « revenu à son statut opérationnel normal ».
« Dépit nord-coréen »
La veille, sur la base d'images prises tout début mars, ils avaient fait état d'un début
La BCE assombrit son pronostic économique en zone euro
La Banque centrale européenne a nettement assombri son pronostic économique concernant la zone euro pour cette année et les deux suivantes, abaissant à la fois ses prévisions de croissance et d'inflation. L'institut de Francfort n'attend plus que , % de croissance en pour l'ensemble de la zone et , % en de reconstruction entamé juste avant ou juste après le sommet au Vietnam, où le président des Etats-Unis et le dirigeant de la Corée du Nord avaient échoué, fin février, à conclure un accord même partiel sur le désarmement nucléaire nord-coréen. L'homme d'affaires septuagénaire avait prévenu mercredi qu'il serait « très, très , contre , % pour les deux années lors de ses précédentes prévisions communiquées en décembre. Pour , elle table toujours sur , %.
Huawei contre-attaque en justice face aux Etats-Unis
Soupçonné d'espionnage potentiel par les Américains, le groupe chinois Huawei a contre-attaqué hier en annonçant une plainte contre les déçu » par le jeune homme fort de Pyongyang si ces informations devaient se confirmer. Pour les experts du CSIS, « les actions de la Corée du Nord sont un affront à la stratégie diplomatique du président et reflètent le dépit nordcoréen après le refus de Trump de lever les sanctions économiques lors des entretiens de Hanoï ». Etats-Unis pour avoir interdit l'achat de ses équipements télécoms par l'administration. Le géant mondial des smartphones porte ainsi la bataille dans les prétoires. Il avait déjà lancé une campagne médiatique destinée à contrer les accusations de Washington, selon qui les équipements de l'entreprise pour les futurs réseaux G pourraient être infiltrés par Pékin.