Premières paroles dans l’opposition
Sandra Torres, du groupe l’Union pour la Seyne, a plutôt joué l’union avec la majorité : « Je me réjouis de voir qu’une alternative à douze ans de mandature de Marc Vuillemot est en place. La ville se retrouve dans un état déplorable », a-telle déclaré. Avant de prôner les projets qui lui tiennent à coeur : «
Maîtrise de
l’urbanisation, amélioration de la circulation, réalisation de pistes cyclables...» en matière de reconstruction environnementale, par exemple. « La Seyne doit devenir une ville sécurisée et propre », at-elle estimé. Évoquant ensuite une rentrée dans « un contexte social et économique très
difficile », elle a rappelé qu’« avec les responsabilités qui nous incombent, il faudra être solidaires et à l’écoute de nos administrés ». Avant de préciser, la concernant : « J’ai toujours exercé mes mandats dans un esprit républicain. L’intérêt général est mon leitmotiv. »
Dorian Munoz du groupe RN a
pris la parole pour préciser notamment à Nathalie Bicais : « Qu’on se le dise, malgré la faible participation, votre élection est parfaitement légitime. » Il a aussi précisé ses intentions pour cette mandature : « Pour ma part, je suis dans l’opposition municipale. L’opposition qui n’en porte que le nom. Car, oui, un élu d’opposition
n’est pas systématiquement en opposition ! Vous me trouverez à vos côtés, quand vos propositions iront dans le but de défendre l’intérêt général (...). En revanche, je serai un adversaire farouche qui s’opposera à toute augmentation d’impôts, à tout sectarisme (...). »