La seconde édition du festival du film court connaît un beau succès
Jeudi et vendredi au fort Balaguier, les deux premières soirées du festival “Films courts côté Sud”, organisé en partenariat par les Ateliers de l’image et la municipalité, ont fait le plein. Au point que les organisateurs ont dû, avec regret, refuser de nombreuses demandes. Cela était déjà le cas l’an passé mais, cette année, la réduction de moitié du nombre de places – afin de respecter les mesures sanitaires – a amplifié le phénomène. Et les dernières places disponibles pour la soirée de clôture n’allaient pas tarder... à « s’arracher » (1). Pour autant, les organisateurs n’excluaient pas de devoir décaler cet ultime rendez-vous si la pluie devait jouer les trouble-fêtes. En pareil cas, la soirée serait repoussée à demain soir, même heure (19 h).
Encore des films en compétition
Au programme : deux films en compétition (La Nuit du Papillon de Nicolas Papan et Courir toute nue dans l’univers de Guillaume Levil) et un documentaire sur le mouvement Rastafari ( I&I de Julie Hamiti). Pour clore le festival, les organisateurs marquent leur volonté d’ouvrir leur programmation aux pays du Sud, avec la projection (hors compétition) de El Mundo Entero de Juliàn Quintanilla, qualifié aux Oscars et au Goya (l’équivalent espagnol des Cesar). Avant la diffusion des films, les spectateurs peuvent aussi découvrir la très intéressante exposition du photographe seynois David Viellefon, dont les clichés humoristiques sur la vie quotidienne d’un couple lors du confinement séduiront par leur ironie. Cette dernière soirée permettra aussi de découvrir la performance réalisée sur place à base de Rubik’s cube par Laura Nicolino. 1. Renseignements au 06.14.47.13.55.