Les dix kilomètres de Tamaris oui… mais en partie masqués
Organisateurs et élus à côté de l’affiche de l’épreuve.
Soulagement et dépit à la fois : malgré la crise sanitaire, l’épreuve des Dix kilomètres de Tamaris aura bien lieu le dimanche 4 octobre prochain, de 10 à 12 heures. Mais, les coureurs seront obligés de porter un masque sur la ligne de départ et devront le conserver sur le visage jusqu’au rond-point de l’appel du 18 juin. Soit durant un kilomètre!
La dégustation de moules annulée
Geste barrières toujours, les sportifs devront aussi remettre leur masque dès la ligne d’arrivée franchie. « Ce ne sera pas facile, mais c’est la mesure impérative à respecter pour que l’épreuve puisse se tenir cette année », explique Jérôme Jousselin, président de la section athlétisme du Club sportif municipal seynois (CSMS), l’organisateur de la course. Cette mesure a été confirmée par les élus présents, Sophie Montbarbon en charge des affaires santé et par Daniel Martinez en charge du sport. De même, exceptionnellement, il n’y aura pas de stand de ravitaillement sur le parcours. Les coureurs recevront un sac individuel contenant boisson et fruits à l’arrivée. La traditionnelle dégustation de moules de
La course ne devrait pas ressembler à l’édition de , même si autant de participants sont attendus.
Tamaris est également annulée.
participants attendus
À noter que cette annonce a un peu éclipsé les nouveautés de cette année sur les plans sportif et caritatif. En effet, l’épreuve devient qualificative pour les championnats de France. Elle s’est aussi associée à l’opération « Octobre Rose ». Sur chaque inscription, un euro sera ainsi reversé à la Ligue contre le cancer. Jérôme Jousselin qui espère un
nombre de compétiteurs au moins égal à celui de l’an dernier, soit 700 participants, a précisé que la course est ouverte à toutes les personnes nées avant 2005, y compris aux marcheurs et aux handicapés. Seule limite : il faut effectuer les dix kilomètres en moins de deux heures.
Savoir + Infos et inscriptions : www.csms.athle.com ou sur csmsathle@gmail.com
Marie Gillet a dû endosser le difficile rôle d’aidante auprès de ses parents vieillissants. Tâche à laquelle personne n’est vraiment préparé. « Nous devenons les parents de nos parents… », Décrit-elle sobrement. C’est par l’écriture que Marie Gillet a fait face, et la rédaction d’un premier roman intitulé Avec la vieille dame .« C’est une fiction basée sur ce que l’on m’a contée, sauf la fin qui est vraiment ce que j’ai vécu », explique-t-elle encore. Un récit loin de la victimisation, empli d’émotions et de ressentis, où s’entremêlent bonheurs et chagrins. Une immersion dans la vraie vie sur fond de décor seynois.