Cancer de la prostate
Le service de médecine nucléaire va également augmenter les examens neurologiques avec un gain qualitatif, autant en termes de résolution que de sensibilité, certain.
Le premier (TEP cérébrale au FFDG) permet de repérer les zones cérébrales dans lesquelles l’activité des neurones est ralentie ou absente.
« Nous sommes désormais capables d’identifier de façon précise l’activité des neurones dans les différentes circonvolutions cérébrales », résume le
Le second (TEP à la F-DOPA) a vocation à identifier très précisément et de façon précoce la perte neuronale en rapport avec la maladie de Parkinson, grâce à la technologie embarquée par les dernières caméras et aux traceurs radioactifs.
« On peut aussi distinguer un tremblement sans cause neurologique d’un tremblement parkinsonien, ajoute le médecin. Le confort du patient n’a pas été oublié puisque la durée d’acquisition de l’examen sous la caméra a été divisée par deux. Il est maintenant d’une dizaine de minutes. »
Habituellement, la surveillance d’un patient après cancer de la prostate se fait par le biais de dosages réguliers du taux de PSA (Antigène spécifique de la prostate). Mais ici, les médecins vont pouvoir s’appuyer sur la technologie pour tenter d’identifier une éventuelle récidive.
« On change de principe : on ne cherche plus à détecter le métabolisme de la tumeur mais une molécule sur celle-ci, résume le
Dr Florent Hugonnet, spécialiste en médecine nucléaire. Concrètement,
L’Anses alerte sur la consommation du complément alimentaire Chewable Hair Vitamins
L’Anses recommande aux femmes sous contraception orale de ne pas consommer le complément alimentaire Chewable Hair Vitamins. Commercialisé par la société HairBurst, le produit Chewable Hair Vitamins est un complément alimentaire, sous forme de gommes à mâcher, utilisé notamment pour la vitalité des cheveux.
nous allons utiliser le PSMA – l’Antigène Membranaire Spécifique de la Prostate, marqué au Gallium , qui va nous permettre de repérer très précisément où se situe la récidive. » Une avancée technologique qui devrait permettre un dépistage précoce des récidives.
« Par ailleurs, il sera possible de traiter le patient sur le même principe : au lieu d’utiliser le Gallium pour le diagnostic, on le remplace par du Lutétium pour détruire la tumeur. Là encore,
Dans le cadre de son dispositif de nutrivigilance, l’Anses a reçu en deux signalements d’hépatites aiguës menaçant le pronostic vital susceptibles d’être liées à la consommation de ce complément alimentaire. Les deux femmes, de et de ans, ont dû être hospitalisées et l’une d’elles a dû recevoir une greffe du foie en urgence. Toutes les deux prenaient un contraceptif oral. Selon l’Anses, la responsabilité du complément alimentaire on va gagner en précision et donc en efficacité. » Enfin, «on va pouvoir calculer la dose délivrée sur chaque structure, visualiser comment le produit radioactif est capté dans le temps et ainsi adapter le cycle d’irradiation », complète Benjamin Serrano, physicien médical. Cela signifie donc que le traitement sera personnalisé et réévalué à chaque séance afin d’optimiser les résultats en limitant les risques associés, notamment l’exposition des cellules saines. dans la survenue de ces deux hépatites aiguës sévères était très vraisemblable. Plusieurs hypothèses sont possibles : un effet complexe de la combinaison des nombreux ingrédients du produit, une interaction avec d’autres substances, notamment celles contenues dans les contraceptifs oraux, ou encore une éventuelle contamination ou adultération, c’est-à-dire un ajout d’une substance de façon frauduleuse.