Var-Matin (La Seyne / Sanary)

Un cruel manque de rotations

- (ci-dessus),

Difficile de tenir la distance sur tout un match avec deux arrières absentes contre l’actuel troisième au classement du championna­t. Les forfaits des Néerlandai­ses Rozemalen et Kramer (convalesce­ntes) ont

Laurent Puigségur contraint Laurent Puigségur à trouver des solutions. Le coach de Toulon/Saint-Cyr a même terminé la rencontre avec trois pivots sur le plan défensif (N’Diaye, Mandret et Benezeth). Tout en alternant en attaque avec deux d’entre elles.

“On

est vraiment très déçus. Nous avons encore un passage à vide sans but de  minutes. Mais nous les avons regardés dans les yeux pendant  minutes. Les filles se sont battues jusqu’au bout.”

entraîneur de Toulon/Saint-Cyr.

Un dispositif offensif en - déjà travaillé le week-end dernier en coupe de France contre Plan-de-Cuques, et qui a permis aux Rebelles de s’incliner seulement de deux buts, après avoir compté jusqu’à sept unités de retard.

“Notre

mois de janvier chargé commence à peser. Laurent (Puigségur) avait bien préparé ses joueuses. Le résultat nous satisfait, pas la physionomi­e. Heureuseme­nt que ça n’a pas duré plus longtemps.”

Guillaume Saurina, entraîneur de Nantes.

Elle a lutté jusqu’au bout, comme d’habitude, avec un éternel sourire aux lèvres. Mais Marie-Paule Gnabouyou ( ans) n’a rien pu faire pour éviter la défaite. En échec dans son périmètre habituel (la défense), l’internatio­nale a enfilé le bleu de chauffe... en attaque. En première mitemps, l’arrière rendait même une copie parfaite face à une Placzek dépassée ( sur  aux tirs à la pause,  sur  au total). « MP » permettait notamment à son équipe de recoller au score, avec trois buts consécutif­s et sur des rushs ravageurs à l’arrière et à l’aile. Au retour des vestiaires, la puissance de l’internatio­nale – que Laurent Puigségur « réservait » alors aux tâches offensives – faisait encore mouche. Sa superbe frappe à  mètres, à la suite d’un jet franc, trouvait la lucarne d’André au coeur du

trou noir du TSCV. Mais sa connexion avec la pivot (N’Diaye) était coupée par les adversaire­s, et les solutions miraculeus­es s’amenuisaie­nt. C’est depuis le banc que la gauchère assistait à une fin de match débridée, tant elle avait laissé d’énergie face à la vivacité de De Paula. Acculée, Gnabouyou avait alors été contrainte de prendre des risques, en montant sur le porteur. Combative jusqu’au bout des ongles.

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