À FLEUR DE PEAU
ÉPOUSER LES FORMES GALBÉES DU FLACON PAR UNE COQUE EN PAPIER ÉCO-CONÇU, PROTÉGER LE VIN DE LA LUMIÈRE, CONSERVER SA FRAÎCHEUR, ACCOMPAGNER UN ART DE VIVRE ENGAGÉ, C’EST L’IDÉE DE L’ÉTUI SECONDE PEAU. UN HABILLAGE RECYCLABLE ET DURABLE, AJUSTÉ COMME UNE RO
Long est le chemin pour arriver à cet écrin immaculé qui illustre dans sa pureté de lignes, un projet qui accompagne le sens de l’histoire. Idée manifeste autant qu’innovante, elle est le fruit de deux années de recherche et de développement, de sept prototypes, 60% de réduction de l’empreinte carbone de l’emballage, 100% papier issu de forêts européennes écogérées, des chiffres qui pèsent de toute la légèreté de son design, sur une conscience éco-responsable. Un engagement qui, depuis longtemps déjà, prend en compte la nécessité de penser les choses autrement. Cette silhouette blanche, presque diaphane dans son immatérialité, remue les esprits et les habitudes. En finir avec une identité qui abîme plus qu’elle ne sublime. Ni le coffret, ni une belle image ne justifient d’oublier ce que célèbre le flacon. C’est après des échanges et des expériences renouvelés avec le fabricant Pusterla 1880 et la manufacture James Cropper, spécialiste du papier et de sa confection, que l’intention s’est concrétisée. Installé près du parc national du Lake District, entre l’Écosse et l’Angleterre, ce dernier développe un savoir-faire bien particulier. C’est le champ ouvert par la fibre de cellulose, ou pâte à papier, qui a fait la différence. La priorité était de rendre le flacon imperméable à la lumière pouvant altérer le vin. La pâte de cellulose a donc été enrichie d’un oxyde métallique naturel qui renforce l’opacité de cette Seconde peau. «Adaptée à une longue conservation au réfrigérateur, l’enveloppe conserve son intégrité plusieurs heures dans un seau rempli de glace». Ce rapport au temps est lui aussi constitutif de l’esprit de la Maison et de la viticulture. Se souvenir que des vendanges à la dégustation, il peut s’écouler dix ans… Rendre à la nature ce qu’elle nous offre chaque jour, tel est bien l’enjeu. « Les conséquences du changement climatique sont déjà visibles dans le vignoble. Ce sont ces vignes du terroir champenois qui sont à l’origine de l’excellence de nos vins. Nous avons la responsabilité de protéger et de préserver cette nature », explique le chef de cave Frédéric Panaïotis. Visonnaire depuis 1729, la Maison accompagne les changements de paradigme. Seconde peau en est une nouvelle expression.
SECONDE PEAU
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Design innovant et inédit, l’étui Seconde peau, en fibre de cellulose, s’inscrit dans une démarche écoresponsable.