COMMENT COMMUNIQUER ?
Si le règlement de l’épreuve n’a autorisé que les bateaux conçus avant 1988 avec l’obligation d’un safran dans le prolongement de la quille, a interdit le GPS, les pilotes électriques, le matériel numérique y compris pour les appareils photo, les caméras et les enregistreurs, l’organisateur Don Mac Intyre a également limité la communication mais a mis l’accent sur les critères de sécurité. C’est ainsi que chaque concurrent sera suivi par une balise embarquée sur laquelle il aura l’obligation d’adresser quotidiennement au comité un message limité à 50 signes. Par ailleurs, une fois par semaine, il devra appeler par Iridium un numéro imposé, celui de l’organisateur. Enfin, tous les quinze jours, via la BLU, les concurrents peuvent également communiquer via les stations de radio-amateurs. De plus, après l’arrêt imposé au sud de Lanzarote (Canaries) proche de la marina de Rubicon franchi en première position par Philippe Péché après onze jours de course, les concurrents devront remonter la rivière d’Hobart, en Tasmanie, pour un second arrêt où, là comme aux Canaries, ils auront la possibilité de transmettre au bateau de l’organisation les films et les cassettes audio.