ECHOS : Le Jura de Haut en Bas
■MARCHAND DE RêVE ?
Oups. « Vendre du rêve, promettre le revenu universel et la légalisation du cannabis, c’est le programme d’un candidat délégué de classe, pas celui d’un président de la République… » Une jolie pique contre le programme de Benoît Hamon signée d’un militant socialiste… faut le faire ! « Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m’en charge ! », disait Voltaire.
■UN JURASSIEN DANS LA LUMIèRE…
Vu à la télé. Avez-vous reconnu qui était derrière Jean Lassalle pour représenter la jeunesse et les citoyens, lors du débat des candidats à la télévision, mardi dernier ? C’était le jeune Rousseland Sébastien Taupin, qui a intégré l’équipe de campagne du candidat. « Du chemin a été accompli depuis la création de mon mouvement Le Réveil de la France il ya à peine deux ans avec mon frère jumeau Nicolas », expliquet-il.
■L’AFFRONT SUR LA VITRINE
Plainte. Au FN, les militants en ont un peu marre de devoir effacer, chaque semaine, les crachats et les tags qui orne la vitrine de leur local. « Là, c’est signé, je n’ai plus qu’à aller déposer une plainte au commissariat », s’exaspérait, samedi matin, Eric Silvestre, le secrétaire départemental constant que « Les Insoumis » s’étaient généreusement octroyé les lieux, y collant les autocollants pro-Mélenchon…
■LA MAIN PASSE…
Une longue expérience. A l’issue des différents scrutins, ce sont donc - au minimum - trois parlementaires sur les cinq que compte le Jura qui seront renouvellés. Jacques Pélissard, élu à l’Assemblée nationale, puis Gérard Bailly et Gilbert Barbier, élus au Sénat, ont en effet décidé de ne pas se représenter. Et
ce n’est pas sans émotion que tous ont annoncé leur décision. « A eux deux, ils doivent représenter un siècle d’engagemment, et ils ont marqué la vie du
Jura » a ainsi estimé Daniel Chalumeaux, candidat à la succession de Gérard Bailly, en guise d’hommage. Après un rapide calcul, cela a bien fait rire les intéressés.
■SIX CANDIDAT POUR DEUX SIèGES
La lutte finale. Avec déjà six candidats sur la ligne de départ, dont pas mal issus des rangs de la droite, l’élection sénatoriale risque cependant d’être assez rude. D’autant que face au président du Conseil départemental, on trouve deux vice-président du Conseil départemental. Elles risquent d’être sympa, les prochaines réunions de bureau !