177 000 euros de travaux dans les écoles doloises
Depuis le départ de la haltegarderie l’île Enchantée dans un bâtiment modulaire bois, rue Sombardier, des travaux ont été réalisés pour faciliter l’accès à l’école. Les abords ont été sécurisés avec la création d’un parking de dépose des enfants à l’intérieur de la cour de l’ancienne halte-garderie. Cet espace, fermé par une barrière, n’est accessible que le matin, à midi et en fin de journée. Le stationnement, réservé aux parents, est limité à 25 minutes. L’accès se fera par la rue Faustin-Besson et la sortie Avenue de la Paix. Un cheminement d’accès à l’école pour les piétons et les vélos a été créé. Un premier garage à vélos a pris place dans l’enceinte de l’école et un second suivra prochainement. Les travaux d’aménagement d’un espace de 230 m2 pour les activités périscolaires ont débuté au cours de l’été. Une bibliothèque, deux salles d’activités manuelles, des vestiaires, des toilettes et des locaux techniques verront le jour d’ici le mois de novembre. L’ensemble de l’école sera réhabilité et modernisé à l’horizon 2018.
Un grillage d’enceinte a été installé à l’école Rochebelle et la porte du gymnase remplacée.
Du côté de l’école Beauregard, des réparations ont été effectuées dans la cour élémentaire, une dalle a été coulée et un chalet a pris place dans celle de la maternelle où les jeux pour enfants ont été réhabilités. La salle informatique et l’accueil périscolaire ont déménagé.
À l’école des Sorbiers, l’ensemble des portes et fenêtres de l’école maternelle ont été renouvelées.
L’école George-Sand a eu droit à des travaux sur les réseaux d’évacuation des eaux usées, l’école Saint-Exupéry à la réparation des regards et des gouttières. Le remplacement du grillage de l’école maternelle de la Bedugue sera effectué prochainement.
À la rentrée, Jean-Marie Brigand a été nommé principal adjoint auprès de François Puerta, principal du collège depuis 4 ans. Il succède à Agnès RobezMasson qui devient principale à Mont Sous Vaudrey. À 57 ans, Jean-Marie Brigand originaire des Vosges, a une longue carrière derrière lui et pas mal de voyages. Il a l’expérience d’établissements similaires au collège Bastié.
« Je n’ai pas d’apréhension, j’apprécie tout particulièrement ce moment de rentrée scolaire où on découvre les locaux, les collègues, on arrive, tout est prêt et on peut porter un oeil neuf sur ce qui nous entoure », confie le nouveau principal adjoint. Pour françois Puerta, l’arrivée d’une nouvelle tête au sein de l’équipe de direction est un plus : « Il va apporter du sang neuf et un regard critique sur tout ce qui se passe dans l’établissement, ce qui évite de nous endormir dans une routine inévitable mais permet de faire avancer les choses en croisant nos expériences ! »
Le collège voit ses effectifs augmenter d’année en année : 568 cette année contre 528 à la rentrée 2016. De nouveaux professeurs intègrent le collège comme Mr Bettevy pour l’Allemand, Mme Henry en lettres modernes, ou encore M. Cornu en EPS et Mme Meyer pour le secteur SEGPA.
Catherine Boiteux vient du monde du sport, après une licence STAPS à l’Université de Besançon, elle intègre plusieurs établissements d’enseignements catholiques dans le nord de la France en tant que professeur d’EPS suppléant. Après quatre années scolaires, elle a eu la chance de pallier à l’absence d’institutrices. « Ça a été une véritable révélation, j’ai fait ça pendant 5 ans et j’ai adoré », commente-t-elle. Catherine Boiteux, forte de cette expérience, débute un an de formation pour passer le concours de professeur des écoles par le biais du second concours interne. Elle est diplômée à Lille en 1994 avant de débuter officiellement sa carrière d’institutrice, toujours dans le privé. Catherine Boiteux devient chef d’établissement pour la première fois à la rentrée de septembre 1998 à l’école Saint-Romaric à Remiremont en Lorraine. Après un break de plusieurs années, l’institutrice retrouve un poste à Epinal où elle restera quatre ans de 2007 à 2011 avant de prendre la direction de l’école Sainte Chrétienne en Moselle jusqu’à l’été dernier.
Le retour de Catherine Boiteux dans la région est un véritable choix : « J’ai 56 ans, je voulais passer la fin de ma carrière proche de ma famille qui vit en grande partie dans le Haut-Doubs, l’opportunité s’est présentée et je l’ai saisie ».