La ville accueille ses habitants
La municipalité a accueilli les nouveaux arrivants lors d’une réunion, jeudi 17 novembre au sein de la mairie.
COMME LORS DE chaque rentrée, la mairie a souhaité rencontrer les nouveaux arrivants ain de leur présenter les services administratifs. La réunion du jeudi 17 novembre a réuni près de 60 personnes. Le maire, Dominique Faure, ainsi que de nombreux élus, présents pour l’occasion, ont énuméré les grands axes développés par la municipalité : le guichet famille, les élus de quartier, les projets pour 2017, les orientations en matière de mobilité, le tissu associatif présent sur la commune, etc. Les habitants ont ensuite pu poser des questions et évoquer les éventuels problèmes rencontrés : dessertes des bus, garde en crèche, etc.
Qui sont les nouveaux venus ?
Normandie, Brive-la-Gaillarde, Haute-Pyrénées, Tournefeuille, Limousin, Ramonville, Toulouse, Seine-et-Marne, L’Isle-Adam, les nouveaux venus à Saint-Orens arrivent de la France entière. Mais pourquoi ont-ils choisi de s’installer à Saint-Orens ? Voici un petit échantillon des profils des habitants fraîchement arrivés. > Pour Hélène et Philippe, originaires de L’Isle-Adam (95), le choix de Saint-Orens s’est imposé avec l’entrée de leur ils au lycée : « Il s’agit d’un choix stratégique par rapport à l’accès au lieu de travail, la proximité avec Toulouse, un endroit proche de la campagne et surtout le lycée de Saint-Orens qui est un bon établissement avec une section européenne. » > Victor, originaire du Limousin, a longtemps vécu à Paris. Il a quitté la capitale pour rejoindre Toulouse il y a deux ans, pour « le soleil, faire du ski et du VTT ». Aujourd’hui, il rejoint SaintOrens parce que la ville est «à proximité du périphérique et de l’autoroute. La ville est proche de Toulouse et le quartier est très calme ! ». > Colette arrive d’Albi. Elle a fait le choix de vivre à SaintOrens pour se rapprocher de ses enfants. L’un est à Saint-Orens, l’autre à Toulouse et le troisième à Grenade. Pourtant son choix s’est tout de suite porté sur Saint-Orens. « J’ai eu un coup de coeur pour la ville. C’est à la fois vivant, convivial et sécurisant. » > Pour Pierre-Yves et Habaha, le choix est stratégique. Auparavant basés à Ramonville, ils ont opté pour Saint-Orens ain de se rapprocher du lieu de travail de Pierre-Yves situé à DrémilLafage.