Passer commande chez «de Schnékert Traiteur», le bon réflexe pour Noël!
Lorsque s’octroyer un vrai repas de fête, sans cuisine de faite, devient l’évidence avec son traiteur de choix…
La bonne recette chez «de Schnékert Traiteur», ce ne sont pas seulement des «huiles» qui commandent tout en haut de la pyramide, mais surtout un collectif «tout en un» au service des uns et des autres, et pour la plus grande satisfaction d’une clientèle toujours plus exigeante, comme aime à le rappeler Rick Hotschnig.
Car l’entreprise «de Schnékert Traiteur», c’est avant tout une immense et seule équipe jouant quotidiennement à l’unisson, à l’image d’un grand orchestre, sa symphonie de plats, et de préparations diverses et variées.
Des effectifs constitués, à tous les niveaux, de différents corps de métiers, tels que les préparateurs, les livreurs, les serveurs, et bien sûr les techniciens qui s’agitent en coulisses, parmi lesquels on trouve des chefs, des pâtissiers, des commis, sans oublier le personnel chargé de l’entretien ou de l’hygiène des infrastructures, et bien d’autres encore.
Ceci, dans un seul but, à savoir: mettre sur le devant de la scène – et défendre bec et ongles – les valeurs d’une société familiale qui, en dépit de la globalisation et de l’évolution accélérée des méthodes modernes d’une restauration 2.0, fait figure de symbole d’un esprit d’entreprise local couronné de succès.
Toujours solidement ancré à côté de Cactus, «de Schnékert Traiteur», continue à combler tous les gourmands du Grand-Duché de Luxembourg.
Noël sera encore et toujours Noël
En cette seconde quinzaine de novembre 2022, l’accueil au Windhof est toujours agréable et chaleureux. Il règne même un doux parfum d’excitation, celui de l’émulation positive que génèrent les fêtes de fin d’année, aussi bien pour les professionnels que pour les particuliers.
En 2022, de nouveau place à une fin d’année à l’occasion de laquelle chacun et chacune va enfin pouvoir profiter des célébrations de la Saint-Nicolas, de Noël, et de la Saint-Sylvestre, avec, naturellement, leurs lots de réjouissances festives et culinaires à côté desquelles personne – ou presque – ne voudrait vraiment passer.
Une rétrospective très détaillée
Pour le secteur de la restauration, les deux dernières années auront vraiment été très instructives en termes de savoir-faire, de gestion de commandes, et de service à flux tendus. En effet, la récente période de la crise sanitaire s’était alors révélée riche en enseignements à maints égards.
Celle-ci avait notamment contribué à stimuler l’inspiration et l’inventivité d’experts dans leur domaine tels que Rick Hotschnig pour mettre encore davantage les petits plats dans les grands et les bouchées doubles – pour ne pas dire triples ou quadruples – en proposant des menus toujours plus en adéquation avec les attentes et les desiderata d’une clientèle qu’il convient de traiter dignement. Mais encore une fois, là où certains auraient pu accuser le coup – tant bien que mal – en tendant le dos pour laisser passer la tempête, chez «de Schnékert Traiteur» , on a su se retrousser les manches plutôt deux fois qu’une, pour faire travailler son imagination, et être de tous les combats et sur tous les fronts afin de s’adapter au mieux au gré des circonstances.
Car, en dépit des pénuries touchant certaines denrées alimentaires très prisées, et des spéculations menant bon train par rapport à d’autres produits ayant le vent en poupe et que tout le monde est prêt à s’arracher à prix d’or en pleine période de fêtes de fin d’année, «de Schnékert Traiteur» a su tenir son rang en mettant un point d’honneur à ne pas répercuter sur les tarifs de ses produits et sur ses nombreux partenaires les récents soubresauts économiques engendrés par une inflation galopante. Cela vaut particulièrement pour les fournisseurs que le traiteur officiel de la cour n’a jamais laissés sur le bascôté, et pour cause!
Au Windhof, les rapports humains priment sur tout. Question délais, là encore, tout doit être – et sera – prêt de sorte que l’ensemble des commandes puissent être honorées comme prévu dans les prochaines semaines.
Quoi de plus logique et normal, après deux des années les plus exigeantes en matière d’organisation et d’optimisation des processus.
Et quoi de plus évocateur que la conservation et la distribution de produits ultra-frais pour illustrer le degré d’exigence très pointu que le traiteur s’emploie à maintenir coûte que coûte?
D’ailleurs, dans une optique visant à faire au plus bref et à satisfaire au plus vite l’intégralité de sa clientèle, «de Schnékert Traiteur» a finalisé la transformation d’un quatrième point de retrait de commandes de marchandises situé à Ingeldorf, et ce, parallèlement aux points de retrait habituels du Windhof, et en lieu et place des supermarchés Cactus Howald et Cactus Kayl.
Toute une palette gastronomique
Pour le triptyque que composent respectivement le repas du réveillon de Noël et les réunions familiales du jour de la nativité, et de la Saint-Étienne, les gourmets et les gourmands estampillés «de Schnékert Traiteur» se verront à nouveau proposer des menus complets à travers lesquels, des amuses-bouches jusqu’aux desserts, petits et grands pourront profiter des joies gustatives de la période la plus faste de l’année.
Le tout, sans oublier bien évidemment la Saint-Sylvestre et ses gammes de mets, un tantinet plus
sélect, qui aideront les fines fourchettes à clôturer l’année en beauté.
Rien que pour donner l’eau à la bouche aux uns et aux autres de ce que sera – ou pourrait être – un repas de fête réussi grâce au coup de main «made in de Schnékert Traiteur», on peut citer, dans l’ordre (histoire de monter crescendo aux différents étages du palais) les mini-quiches, en prélude à des barons ou coeurs de saumon, des bisques de crustacés accompagnant les nages de poisson, tout ceci, pour donner le top départ d’un déjeuner ou d’un dîner pour le moins amélioré.
Ensuite, place sera faite au gibier grâce à un dos de daim qui ravira les connaisseurs les plus raffinés, et par l’incontournable, mais irremplaçable, médaillon de veau.
De surcroît, si ces sacrés numéros font régulièrement l’unanimité (selon les convenances et les préférences des convives, cela va de soi), c’est qu’il doit forcément y avoir une raison – ou une saison – à cela! À noter, le choix ultime des rois – et consorts – de la table, à savoir celui d’un gibier qui, tout au long de son existence, naît, grandit, se nourrit et évolue en pleine nature et en forêt.
C’est tout simplement la garantie d’une viande ô combien noble et on ne peut plus exquise, tant au niveau de sa saveur qu’à celui de sa texture, à la fois tendre et généreuse.Des dômes chocolatés s’imposant au milieu de sachets de biscuits, entre autres, taperont à coup sûr dans le mille à la fin du banquet… Au cas où les mini-bûches (à base de crème au beurre) ne suffiraient pas.
La grande parade de décembre
Comme on dit dans la langue de Dante Alighieri, «Natale con i tuoi, Pasqua con chi vuoi!», au GrandDuché, Noël symbolise, comme partout ailleurs, le rassemblement des familles le soir du réveillon et le jour de la nativité.
A posteriori, on s’accordera à se mettre sur son «trente et un» à sa guise, avec des amis ou avec qui on veut, un peu comme à Pâques, si l’on se réfère au dicton transalpin. Deux événements majeurs à bien inscrire sur le calendrier pour la fin décembre, et à l’occasion desquels on ne se restaure pas de la même façon. Tandis que Noël se concentre principalement sur trois jours pleins, avec des repas rallongés et souvent très copieux, le réveillon du Nouvel An, pour sa part, demeure généralement plus décontracté et moins nomenclaturé en termes de plats à servir.
Dans ce cadre, «de Schnékert Traiteur» suggère tout bonnement un buffet froid de qualité pour la dernière soirée de l’année, ce qui confère davantage de légèreté et de liberté d’un point de vue diététique pour les irréductibles fêtards de la dernière heure. Bien sûr, pour les plus affamés, des painssurprises et des paniers de légumes seront de la partie, de même que le homard Belle-Vue, naturellement disponible au prix du marché, «noblesse exige!».
Et que dire du clou du spectacle avec sa déclinaison de saumon qui fera la joie, non pas des linguistes (ni des langoustes), mais des papilles les plus sensibles et délicates, pendant que l’équivoque (mais intrépide) foie gras, d’astreinte et fidèle au poste comme à l’accoutumée, assurera un service maximum et difficile à snober… Alors, tous à vos assiettes, et «fête vite!».