Quand la façade d’une maison appartient à celui qui la regarde
Chères lectrices, chers lecteurs,
De même que l’habit ne fait pas toujours le moine, un beau et magnifique sourire de façade n'est pas toujours la garantie d’une robustesse intérieure à toute épreuve. Et pourtant, les parures et autres ornements dont se dotent certains de nos congénères dans leur apparence quotidienne reflètent souvent l’idée d’un soin particulier qu’ils s’octroient à eux-mêmes, et ce, pour bien s’accorder avec les autres.
Or, pourquoi n’en serait-il pas de même s’agissant d’une devanture ou de l’aspect extérieur d’une maison, d’un édifice ou d’un immeuble ? En effet – qu’on se le dise – bien au-delà du paraître en trompe-l’oeil du temps jadis ou du témoignage d’un vestige de toute sorte d’histoires révolues, la façade se révèle fréquemment un élément clé d’un bâtiment, notamment en vertu du rôle d’interface et de protection qu’elle interprète bon an mal an entre les quatre murs qu’elle protège et l’environnement qui l’entoure. Et à ce propos, le sujet de la semaine vaut véritablement le détour !
Dans un second temps, l’on tentera d’appréhender de la manière la plus optimale – mais tout en anticipant les inconvénients potentiels de la chose – la venue de la prochaine saison chaude ; et cela, par le biais d’ouvertures qui permettent aux occupants d’une habitation un large accès vers l'extérieur, et ce, tout en facilitant l'entrée des douces fraîcheurs nocturnes au sein du même logement, toujours pour la plus grande satisfaction des maîtres des lieux…
Alors une très bonne lecture à vous, et à très bientôt !