Et lalumière fut
Jusqu’à lundi, faites commele prince-Albert II : venez pédaler pour illuminer à la force des mollets la façade du Musée océanographique.
Trente vélos ont été installés face au Musée océanographique. Ils ont un rôle bien précis: illuminer la belle façade du bâtiment. Du moins pour quelques jours. Cette No Finish
Lightsadémarré hier, avec la première illumination de la façade. Derrière l’animation, ilyaplusieurs objectifs. Sensibiliser le public aux énergies vertes, puisque tout le monde est invité à venir pédaler devant le musée. Récolter des fonds pour l’association Children & Future, qui orchestre la No
Finish Line, du au novembre. Et puis présenter lenouvel éclairage du musée. « On avait envie de mettreen lumière la façade du musée, explique Robert Calcagno, ledirec- teur général de l’Institut océanographique, qui pilote à ce titre le Musée océanographique. On voulait le fairedemanière écologique. On utilise les dernières Led les plus économes en énergie. » Hier soir, le prince Albert II, Thor Hushovd, le champion du monde de cyclisme , Christophe Steiner, le président du Conseil national ou encore des conseillers de gouvernement- ministres ont participé à cette première illumination du musée. Les vélos restent encore là quelques jours. Jusqu’à lundi inclus, il est possible de venir les utiliser, de h à h . Et deproduire ainsi de l’énergie.