« Ce n’est que du bonheur »
Après desmois de stress, d’incertitude sur la tenue de son épreuve, Pascal Thiriot a pu voir son marathon se dérouler, le tout dans un climat festif. Une fois les coureurs arrivés à Cannes, le président d’Azur sport organisation pouvait enfin souffler.
La e édition s’est déroulée sans problème. Soulagé? Oui, tout s’est bien passé, en plus on a euune météo exceptionnelle, alors qu’on nous promettait la pluie. Le parcours a été intégralement sécurisé, tout le dispositif était en place. Ce n’est que du bonheur. On va décompresser doucement. Ça fait vraiment plaisir de voir que les coureurs et les bénévoles nous ont fait confiance en venant.
Qu’a changé ce départ depuis l’Allianz Riviera ? Le départ s’est effectué par vagues pour donner un maximum de confort aux coureurs. Au niveau organisation, il a fallu acheminer les coureurs du centre deNice au stade. Il y a eubeaucoup de changements, mais on a réussi à s’adapter. Mais l’année prochaine, c’est promis, on revient sur la promenade des Anglais.
La Marseillaise chantée au départ, ça a été le moment le plus fort ? Oui avec laminute d’applaudissements de tous les coureurs. Des moments émouvants.
Satisfait de l’affluence sur le bord des routes ? Oui, il y avait beaucoup de monde, notamment aux points relais. Les gens ont répondu à l’appel et la météo nous a aidés.
Pour battre le recordde l’épreuve, ce n’était pas possible avec le changement de parcours ? Ce n’était pas l’objectif, mais cette année, il y avait deux bosses de plus, des virages supplémentaires. Pour battre le record, il aurait fallu être vraiment costaud.
La e édition est déjà dans votre esprit ? Oui, et si les collectivités me donnent le feu vert, une grosse surprise pourrait s’ajouter, mais j’en reparlerai plus tard.