Estrosi-Sassone intervient sur le logement
est logique: il a compris que son bilan calamiteux ne lui ouvrait aucune possibilité de convaincre les électeurs, même dans son camp. Cerenoncement est pathétique. Unique sous la Ve République, il souligne combien la France aperdu de temps pendant ans, l’ampleur des erreurs qui ont été commises et la profondeur abyssale des dégâts que laissera ce quinquennat raté: , million de chômeurs en plus, des Français accablés d’impôts, l’abaissement de la fonction présidentielle dont ledernier épisode auraété la révélation de secrets d’État dans un livre d’entretien, la dégradation très fortede l’autoritéde l’Etat. » la maîtrise du budget, des lois et de la monnaie, au sein d’une véritable Europe des Nations, bénéficiera lors de la campagne électorale du même intérêt médiatique, afin que nos concitoyens aient accès à l’intégralité de l’offre politique ». La sénatrice (LR) Dominique Estrosi-Sassone a présenté son rapport pour avis sur l’égalité des territoires et le logement, dans le cadre du projet de loi de finances . L’élue azuréenne a notamment souligné que le parc d’hébergement dédié aux demandeurs d’asile demeure largement insuffisant en raison de la pression migratoire, « un cinquième du parc dédié aux demandeurs d’asile ou aux réfugiés étant occupé par des personnes déboutées de la demande d’asile » . Elle a également regretté que les règles d’éligibilité aux aides au logement (APL), modifiées par le gouvernement pour prendre en compte d’une part le patrimoine du demandeur à compter de euros et, d’autre part, de nouveaux plafonds de dégressivité, demeurent très imprécises. « Dans les Alpes-Maritimes, a-t- elle souligné, , % des bénéficiaires voient ainsi leurs droits d’aide au logement baisser ou être supprimés, les plus touchées étant les personnes âgées aux revenus modestes. » La députée européenne EE-LV du Sud-Est, Michèle Rivasi, s’inquiète de la volonté de François Fillon de réduire les frais de santé. Elle a donc pris l’initiative de lancer cette semaine un collectif de vigilance composé de professionnels de la santé et d’usagers du service public, afin de « questionner et interpeller l’ensemble des candidats à la présidentielle et lancer des alertes quand ces programmes nous paraissent en contradiction avec l’intérêt général et la pérennisation de notre système de santé » .